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La Cgt des territoriaux vous informe

 

 

Tassement des grilles et non reconnaissance des qualifications, le massacre continue !!!

Vous trouverez l’ensemble des grilles en téléchargement ICI  (fichier regroupant les grilles C, B et A)
Nous mettons à votre disposition le QRCode Grilles de traitement au 1er juillet 2023

Actualisé le 12 juillet 2023

 

 

Réforme des retraites : rien ne sera plus comme avant

Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT s’est exprimée dans une tribune publiée dans Le Monde ce vendredi 16 juin. Elle revient sur la bataille contre la réforme des retraites et tous les combats qu’il reste à mener contre le projet de société mortifère que veut nous imposer Emmanuel Macron.
Malgré une mobilisation d’une durée et d’un niveau record, la réforme des retraites est adoptée. Faudrait-il en conclure que nous avons perdu ? NON.
Pour Emmanuel Macron et son gouvernement, tout va être plus compliqué maintenant, et le prix à payer sera élevé.
D’autres combats seront menés
La réforme des retraites sera la cocotte d’Emmanuel Macron jusqu’à la fin de son quinquennat. Et avec toutes celles de ses ministres, c’est une batterie de cuisine qu’il traîne derrière lui.
Nous allons maintenant utiliser tous les leviers à notre disposition pour continuer à dénoncer et empêcher l’application de cette réforme violente, injuste et injustifiée. Nous allons nous battre pour gagner par la fenêtre ce que nous avons perdu par la porte. Pour cela, nous appelons à l’ouverture de négociations dans toutes les entreprises et toutes les branches pour gagner des départs anticipés pour pénibilité et la prise en compte des années d’études.
Nous nous battrons pour que la négociation Agirc-Arrco, qui va s’ouvrir prochainement sur la retraite complémentaire des salariés du privé, permette d’améliorer le niveau des pensions. De nouvelles propositions de référendum d’initiative partagée seront déposées. Nous contesterons chaque décret de cette réforme injuste. Et le gouvernement ne pourra pas museler le Parlement pendant quatre ans.
"Ce qu’un président a fait, un président peut le défaire"

Pour lire la suite de la Tribune de Sophie Binet cliquer ICI

Actualisé le 20 juin 2023

 

 

Interview de notre camarade Émilie par TV Vendée

https://www.facebook.com/100044666124184/ videos/552009186858236/

https://www.facebook.com/100044666124184/ videos/3328996774023381/

 

Oubliés du Ségur, qualité d’accueil et conditions de travail dans les modes d’accueil

Nous poursuivons le combat le jeudi 2 février 2023 Rassemblement 10h Place Napoléon – La Roche-sur-Yon

Alors que nombre de collègues du secteur social et médico-social viennent de bénéficier du Complément de Traitement Indiciaire (CTI), soit une augmentation de 189 euros nets mensuels, les professionnelles des crèches, des cantines, des centres de loisirs, des centres de santé, des services sociaux….

Restent toujours « Oubliées du Ségur », exclues du bénéfice du CTI.

Les agentes et agents du secteur social, médico-social et de l’animation, soit près de 98 % de femmes, sont plus que jamais déterminées pour obtenir justice, bénéficier du CTI et gagner sur leurs revendications.

Dans un contexte d’inflation sans précédent, et face à un projet de réforme qui attaque les retraites en augmentant la durée de cotisations et en reportant l’âge légal de départ, nous sommes plus déterminées que jamais pour gagner sur nos revendications !

A l’appel de la Fédération CGT des Services publics, soutenus par Pas de Bébé à la Consigne, en octobre dernier, nous étions des milliers dans les rues de plus de 60 villes, mais le gouvernement est resté sourd à des avancées majeures en faveur de la qualité d’accueil des tout petits. Seuls tous petits résultats de nos mobilisations : un décret du 30 décembre prévoit que le taux d’encadrement "doit être respecté à chaque instant" et que le ratio 40/60 est calculé mensuellement et non plus annuellement...

Revendications :

  • Augmentation immédiate de nos salaires : +189 € net mensuel sous forme de C.T.I suite aux accords Ségur et + 10% d’augmentation du point d’indice;

  • Retraite décente pour tous avec la prise en compte de la pénibilité permettant un départ anticipé avant 60 ans avec 75% du salaire des 6 derniers mois;

  • Amélioration des conditions de travail (Une qualité d’accueil garantie par 1 professionnel pour 5 enfants et par au moins 50% de professionnel les plus qualifiés en crèche - Un accueil en surnombre limité à 110% des inscrits en crèche - Une surface de 7m2 minimum par enfant en crèche, garantie sur tout le territoire);

  • Véritable reconnaissance des qualifications de nos métiers (l’élévation globale des niveaux de qualification des professionnels de l’accueil individuel et collectif par la formation initiale et la formation continue diplômante);

  • Baisse du temps de travail à 32 heures hebdomadaires;

  • Abrogation du secteur de la petite enfance et de la loi de Transformation de la fonction publique;

  • L’alignement du coût restant aux familles sur la base du quotient familial quel que soit le mode d’accueil;

  • Contre la réforme des retraites, les professionnelles ne tiendront pas jusqu’à 64 ans.

Et nous exigeons des mesures immédiates contre la pénurie de professionnels, passant par des revalorisations substantielles des salaires, par l’augmentation immédiate et massive des places en centres de formation pour les métiers de la petite enfance et par des conditions de travail dignes d’un accueil de qualité pour tous les bébés.

 

 

  PERSONNELS DE RESTAURATION ET ENTRETIEN EN GRÈVE !

Le 2 décembre 2022, à la demande des agents de restauration et d’entretien dans les groupes scolaires de La Roche-sur-Yon, la CGT des Agent Territoriaux a déposée un préavis de grève du lundi 12 au vendredi 16 décembre 2022, de 0 h à 24 h, pour l’ensemble des agent·es de la Fonction publique territoriale et pour les salarié·es relevant de la partie privée de notre champ territorial.

Animés par un profond sentiment de colère, ces personnels revendiquent :

  • Un manque de personnel,

  • un manque de matériel,

  • un mal être au travail,

  • un manque de reconnaissance,

  • des conditions de travail qui se dégradent.

Nous avons reçu un message de la part de Monsieur GHEERAERT (Directeur Général des Services), le jeudi 8 décembre à 8h45, nous indiquant que nous avions un préavis de grève pour les agents de restauration et d’entretien de tous les groupes scolaires pour la période du 12 au 16 décembre 2022.
Il souhaitait pouvoir échanger avec nous sur les motifs et revendications émises par ces agents. et proposait une rencontre le vendredi 9 décembre en fin de matinée en présence de Mme DALAIS (DGA Pôle Services à la Population), M. BRUNET (Directeur de l'Education) et M. RENOIR (Directeur Ressources Humaines).

 

5 agents de restauration et entretien accompagnés par le secrétaire CGT des Agents Territoriaux (B. JAMONNEAU) ont été reçus le vendredi 9 décembre à 11h à l'Hôtel de Ville Agglomération. Ils ont pu s'exprimer sur les différents points revendicatifs et ont demandés des réponses rapides à leur demandes légitimes dans les plus brefs délais.

 

Nous avons regretté la NON présence d'élus municipaux à cette entretien et avons aussi dénoncé la façon de faire pression sur les agents. OUI, car la veille de la rencontre le DGS et le Directeur de l'éducation ont fait une visite inopinée à la restauration de l'école de Jean Moulin pour leur demander pourquoi ils faisaient grève et ceci pendant leur temps de repas (30mn).

 

Un rassemblement des personnels de restauration/entretien a eu lieu à l'école de l'Angelmière de 12h30 à 13h30, en présence de médias France 3 Pays de la Loire et TV Vendée mais aussi d'élus municipaux (M. BESSEAU adjoint à l'éducation, Mme LEJEUNE adjointe handicap accessibilité et M. HELARY) qui n'étaient pas au courant de la réunion provoquée par le DGS le 9 décembre.

Un autre rassemblement est prévu le jeudi 15 décembre de 12h30 à 13h30 à l'école Jean Moulin.

 

Jeudi 15 décembre 2022

 

Une délégation de la mairie composé de Sébastien Brunet, directeur du service de l'éducation, de Jacques Besseau, adjoint à l'éducation et de Christophe Gheeraert, directeur général des services. Celui-ci est venu rencontrer la quarantaine de personnes rassemblées devant l'école Jean Moulin en lançant "Je m'étais engagé à venir, je suis venu". Celui-ci a proposé "d'organiser une table ronde en janvier pour débattre de tous les problèmes et avancer ensemble."

 

Un certains nombres de réponses ont été apportées, mais restons vigilant comme la très bien lancé une manifestante "Ce sont des paroles, on veut des actes !".La CGT c'est adressée aux manifestants: "La réunion de janvier sera l'occasion d'exprimer tout ce que vous avez à dire. C'est à ce moment-là que vous déciderez s'il faut reprendre ou non un mouvement de grève."

 

Espérons que ce ne soit pas qu'un effet d'annonce !!!

Presse/médias

Facebook.com/territoria.cegetiste

Francebleu - Article publié le jeudi 8 décembre 2022 à 16:45

Ouest-France La Roche-sur-Yon - Article publié le 09/12/2022 à 19h14

Franceinfo - Article publié le 12/12/2022 à 15h45

TV Vendée Actu - Publié le 12 décembre 2022

Actualisé le 3 janvier 2023

 

  PERSONNELS EHPAD EN GRÈVE

Comité Technique Ville et Agglomération de La Roche-sur-Yon
Vendredi 25 novembre 2022

Déclaration des 4 organisations syndicales

M. le Maire Président,

A l’ordre du jour du comité technique d’aujourd’hui vous nous présentez le dossier de l’actualisation du règlement relatif au temps de travail dans les EHPAD. Pour tous ces agents le passage au 1607 h devrait se faire au 1er janvier 2023.
Or nous n’avons cessé de vous alerter sur les problèmes que nous procure se dossier :

  • Manque de concertation avec les agents

  • Groupe de « travail » sans les représentants syndicaux élus

Nous constatons qu’entre les premières présentations en réunion de travail et le comité technique le dossier n’a pas bougé. Nous maintenons les revendications des agents que nous représentons tous à savoir :

  • Pas de week-end supplémentaire,

  • Non au renfort le week-end imposé, au détriment du travail de la semaine,

  • Une meilleure compensation du travail de nuit, week-end et jour fériés,

  • Obtention des mêmes compensations que les agents de la ville et de l’agglo avec notamment la prise en charge à 100% de la prévoyance.

Au vu de cette situation, nous informons donc que les 4 organisations syndicales que nous représentons ne siégeront pas au comité technique de ce 25 novembre 2022.

 

 

 

Affiche 8 décembre Fmt A3

SPÉCIAL ÉLECTIONS FONCTION PUBLIQUE 2022

Les élus Macronistes de La Roche sur Yon -CCAS-Aggloméraion ont décidé le vote électronique en exclusivité lors du Comité Technique du 25 mars dernier, soutenu par FO. Le mode de scrutin ne relève pas d’un choix technique : c’est une question démocratique et politique qui aurait dû engager vers un dialogue sociale sur le sujet. Le Vote électronique se déroulera donc du 1er  au 8 décembre 2022.

 

Pour nos carrières, nos rémunérations, nos retraites
Pour des élu.e.s engagé.e.s à nos côtés
Pour la reconnaissance de notre travail et de nos qualifications

8 décembre - RÉSULTATS en image ici

Nous l'avions clairement annoncé que le choix des élus Macronistes pour le vote électronique aurait des incidences sur le scrutin.

Et Oui !!  Seulement 34,77% de suffrages exprimés contre 44,10% en 2018 (vote à l'urne exclusivement).

La catégorie qui a le moins voté est la C avec 36,90% de votants pour  50,30% en 2018.

En effet, en choisissant, contre l’avis de la majorité des organisations syndicales, d’étendre de manière massive le vote dématérialisé ? De telles modalités de vote, sur leur principe même, éloignent la consultation des lieux de travail et individualisent le rapport à la démocratie sociale. Elles sont donc en contradiction avec l’essence du syndicalisme et la citoyenneté au plus près des lieux de vie professionnelle.

Le positif, nous reprenons un poste de titulaire en Comité Social Territorial.

Actualisé le 3 janvier 2023

 

Prochain Comité Social Territorial  le

 Retrouver les Comptes Rendus des derniers CT dans l'onglet - INSTANCES PARITAIRES - CT

Ville - CCAS - La Roche-sur-Yon Agglomération - CIAS

Ordre du jour :

  1. Questions diverses

Prochain CHSCT le

Ville - CCAS - La Roche-sur-Yon Agglomération

Ordre du jour :

  1. Questions diverses

 

  Nouvelles échelles de rémunération pour les catégories C - janvier 2022

 

Avec ces nouvelles échelles nationales qui prennent en compte l’augmentation du Smic au 31 oct. 2021 et non pas celui du 1er janvier 2022, la CGT des agent.e.s Territoriaux alerte sur un nouveau tassement des échelles qui pourrait être contourné via l’augmentation de la valeur du point.

Ce gouvernement s’y refuse catégoriquement

Comment attirer, recruter puis fidéliser des professionnel.le.s, notamment face aux grandes entreprises du secteur privé, avec des salaires aussi bas, tant en catégorie C, qu’en catégorie B et A ?

Pour preuve, notre collectivité "avoue" avoir des difficultés de recrutement dans un nombre croissant de métiers.

Pour l’heure, c’est la continuité du service public et la qualité du service rendu qui sont compromis.

 

Actualisé le 16 février 2022

 

 

 Grève sans précédent à La Roche-sur-Yon

CONTRE LE PASSAGE AUX 1607H SANS COMPENSATION SALARIALE

Préavis de grève reconduit jusqu'au 31 janvier 2022

 

Le Journal du Pays Yonnais, vendredi 19 novembre 2021

Vendée : Les professionnels de l'animation dénoncent leurs conditions de travail

Réunis devant la préfecture de La Roche-sur-Yon, vendredi 19 novembre, environ 80 professionnels de l'animation ont manifesté pour défendre leur secteur professionnel.

Environ 80 personnes, venues d’une quinzaine de communes de Vendée, se sont réunies, vendredi 19 novembre, devant la préfecture du département, à La Roche-sur-Yon.

Actuellement en grève, elles sont venues protester, dans le cadre d’une manifestation nationale organisée par la Confédération générale du travail (CGT), contre la dégradation des conditions de travail dans les métiers de l’animation, à la veille de la Journée internationale des droits de l’enfant.

C’est la première fois qu’un mouvement de cette ampleur est lancé dans ce secteur professionnel. Signe d’un « ras-le-bol généralisé », relate Rodrigue Guibert, qui a fait le déplacement depuis Les Sables-d’Olonne. « Nos métiers, avec de l’emploi précaire et le manque de valorisation du travail effectué, n’attirent plus grand monde. Les salaires faibles, voire indécents, ne sont pas à la hauteur des responsabilités que nous avons (…) On aime notre métier, mais pas au point d’y laisser notre santé », a-t-il ajouté en prenant le micro, appelant Sarah El Haïry, la secrétaire d’État chargée de la jeunesse et de l’engagement, à entendre leurs revendications.

1800 euros brut à temps plein

Outre la faiblesse des salaires, les militants dénoncent entre autres le recours majoritaire des employeurs, publics ou privés, aux contrats courts et à temps partiel ; l’augmentation des rythmes de travail et la polyvalence exacerbée des tâches demandées ; les horaires « décalés » provoquant des journées à rallonge (le temps de travail est sectionné en plusieurs tranches horaires par jour, non consécutives) ; l’absence de reconnaissance professionnelle ; ainsi que le manque d’effectifs, dû au faible attrait du secteur, rendant l’emploi de salariés non professionnels de l’animation récurrent.

La CGT réclame donc un salaire minimum à 1800 € brut à temps plein, la fin des temps partiels subis, la mise en place de pénalités pour les employeurs utilisant des contrats courts, un système limitant les coupures (pour pouvoir travailler sur la journée entière), des moyens pédagogiques supplémentaires, ou encore des taux d’encadrement (nombre d’enfants par animateur) plus confortables.

« Du mal à gérer la sécurité des enfants »

Ces maux, identifiables sur l’ensemble du territoire national, n’épargnent pas la commune de La Roche-sur-Yon.

Sous couvert d’anonymat, une animatrice employée dans un établissement scolaire de la Ville explique « avoir du mal à gérer la sécurité des enfants ».

« Cela fait des années qu’on se bat. Sur le temps du midi, par exemple, il y a un animateur pour gérer 30 élèves. On doit systématiquement courir dans tous les sens. Si un enfant se blesse et qu’un animateur doit s’occuper de lui, ses collègues peuvent vite se retrouver dépourvus », regrette-t-elle.

Pêle-mêle, elle cite également « les journées à rallonge, particulièrement usantes », « le manque de personnel, évidemment, qui nous pousse souvent à faire de la garderie plutôt que de réelles activités » et « la gestion des enfants en situation de handicap, pour laquelle on n’a pas de formation ».

« On a le sentiment d’être parmi les grands oubliés. Quand les soignants ont été mobilisés pour lutter contre l’épidémie, on a gardé leurs enfants. Mais on en a à peine parlé », abonde-t-elle.

Pétition

Une autre employée de La Roche confirme ces difficultés, en plus d’une grande précarité financière. Employée à 85 %, elle touche à peine plus de 1000 € et vit seule avec un enfant à charge.

« Pour se faire entendre, on a donc décidé d’aller directement à la rencontre des parents, en leur faisant signer une pétition, indique-t-elle. Leurs enfants souffrent eux aussi de cette situation, alors qu’ils n’y sont pour rien. La plupart sont très contents de nous voir et de nous écouter. On a déjà récolté une centaine de signatures. »

Exaspérés, de nombreux manifestants font part de leur motivation à poursuivre le mouvement de grève et à élever la voix pour se faire entendre.

« Il est temps de comprendre qu’on n’existe pas seulement pour amuser la galerie. On joue un vrai rôle dans le système éducatif. »

 

Le Journal du Pays Yonnais, jeudi 18 novembre 2021

La Roche-sur-Yon - Agents. Passage à 1607 heures de travail : les syndicats CGT et Sud prolongent la grève

Opposés au passage à 1607 heures par an, des agents de la Ville se sont mis en grève jusqu'au 23 novembre.

Explications.

Vendredi 12 novembre, une grève des agents de la Ville de La Roche-sur-Yon a eu lieu à l'appel des organisations syndicales CGT de territoriaux et SUD collectivités. Des services comme les accueils, la restauration et les APE dans les écoles publiques yonnaises ont été fermés. Ce mouvement fait suite à la décision de la Ville et Agglomération d'augmenter le nombre d'heures de travail des agents. De 1547 heures, les fonctionnaires devront passer à 1607 heures afin de se mettre en conformité avec la loi sur la Transformation de la vie publique. Pour englober ces heures manquantes, la collectivité prévoit de transformer sept jours de congés payés en RTT. Ce qui a fait bondir les syndicats.

 

Grève prolongée

Selon les organisations syndicales, 73 % du personnel a fait grève le 12 novembre. Ce mouvement est appelé à continuer, car les deux syndicats ont annoncé une prolongation du préavis de grève jusqu'au 23 novembre, jour du comité technique. Le but étant d'obtenir gain de cause, comme cela a pu se faire aux Herbiers. "La CGT des Communaux de la ville des Herbiers menaçant de faire grève a obtenu 200 € net par mois d'augmentation du Régime indemnitaire. Tous les agents communaux toucheront dès le 1er janvier 2022, 150 € net par mois. Ce qui est faisable par Mme Besse aux Herbiers doit l'être à La Roche-sur-Yon" , soulignent les syndicats qui, à ce jour, déplorent le silence du maire-président Luc Bouard.

 

"Nous n'avons pas le choix"

Ce dernier a évoqué le sujet en conseil, en début de semaine, rappelant la nécessité pour la collectivité de se mettre en conformité avec la loi sur le temps de travail des agents. "Nous savions que ce serait un sujet sensible, mais il nous faut en passer par là, nous n'avons pas le choix".

Luc Bouard a également souligné des positions opposées entre syndicats. "Nous ne sommes pas là pour donner raison à l'un ou à l'autre, mais pour mener des négociations constructives pour tous", a déclaré le maire.

Ce à quoi, les syndicalistes de la CGT répondent : "Nous tenons à rappeler que ce n'est pas une guerre entre syndicats comme il le prétend, car il n'y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre en faisant l'autruche !" Ambiance !

 

Quotidien Ouest-France, ouest-france.fr, jeudi 18 novembre 2021

La Roche-sur-Yon - La grève des agents municipaux prolongée jusqu’au 26

Face à l’augmentation de leur temps de travail, prévue au 1 er janvier 2022 , les agents municipaux sont en grève depuis lundi 8 novembre. La CGT et le syndicat Sud Collectivités ont déposé un nouveau préavis de grève qui court jusqu’au 26 novembre. Hier, les deux piscines de la ville étaient fermées en raison de la mobilisation d’une grande partie du personnel. Pour ces prochains jours de mobilisation, les grévistes prévoient de continuer les actions sur différents sites de la ville. Vendredi 18 novembre, face à la mobilisation des animateurs périscolaires, « plusieurs services de restauration, accueils et activités péri éducatives seront perturbés, voir supprimées », avertit la mairie.

Le complexe aquatique et la patinoire de La Roche-sur-Yon étaient fermés (75% de gréviste MNS, agents entretiens et accueil), ce mercredi 17 novembre en raison de la grève des agents municipaux. De nouveaux sites seront touchés par cette grève dans les jours qui suivent.

 

Lutte Ouvrière, mercredi 17 novembre 2021

La Roche-sur-Yon : les territoriaux en grève

Depuis plusieurs mois, les agents territoriaux de la ville, de l’agglomération et du CCAS de La Roche-sur-Yon, sont mobilisés contre l’application de la loi imposant le passage aux 1607 heures annuelles.

Déjà, l’ambiance était donnée quand, lors d’un conseil municipal, l’adjointe aux finances avait déclaré qu’il fallait poursuivre la maîtrise des dépenses de fonctionnement, notamment sur la masse salariale. En langage clair, c’était une menace sur 100 emplois en équivalent temps plein.

Le maire, président de l’agglomération, ex-LR Macron-compatible, souhaite l’application stricte de la loi avec un passage aux 1 607 heures annuelles, soit 60 heures de travail de plus par an, sans augmentation de salaire, la suppression de six jours de congé et de six jours de RTT. Pour les agents du service des Sports, c’est la suppression du dimanche travaillé payé double et compensé par une journée de récupération, soit pour certains jusqu’à 200 heures de travail supplémentaires par an, sans augmentation de salaire.

Avec cette mesure, la mairie et l’agglo économisent l’équivalent de 63 agents à temps plein. En compensation, le maire propose une participation sur les cotisations de prévoyance et la mise en place de tickets repas. Ce sont des mesurettes, quand on sait que la compensation proposée est établie en pourcentage du traitement. Elle est donc forcément plus favorable aux salaires les plus élevés, alors que la ville de La Roche compte 76,07 % d’agents de la catégorie la plus basse, la catégorie C, et que seulement sept tickets repas par mois sont proposés, à 5 euros l’unité et financés à 50 % par les agents. Le directeur général des services, venu expliquer ces compensations devant un piquet de grève, mardi 9 novembre, a été copieusement hué, à juste titre.

Devant cette attitude, les agents sont montés plusieurs fois au créneau au cours du deuxième trimestre 2021, avec l’appui de la CGT et de SUD, la CFDT et FO se rangeant du côté du maire. Une pétition signée par 41 % du personnel a été remise le 15 juin. Enfin, le 5 octobre, lors de la journée de mobilisation interprofessionnelle, un cortège d’environ 150 agents a participé de façon dynamique à la manifestation, derrière une banderole.

La mobilisation est montée d’un cran les 8, 9 et 10 novembre. Pendant ces trois journées de grève et de mobilisation, le centre technique municipal a été bloqué, plusieurs services ont fonctionné au ralenti et, le 10 novembre, la médiathèque du centre-ville est restée fermée. Les agents ne se contentent pas de protester contre les modalités de passage aux 1 607 heures : ils réclament aussi une augmentation de salaire de 100 euros net par mois. Pour le moment le maire se retranche derrière la loi pour ne rien céder.

La mobilisation devrait se poursuivre, le préavis de grève, initialement prévu jusqu’au 14 novembre, a été prolongé au 23 novembre et de nouvelles actions sont déjà programmées.

 

Quotidien Ouest-France, ouest-france.fr, samedi 13 novembre 2021

La Roche-sur-Yon - Des agents territoriaux en grève jusqu’au 23 novembre

Déposé lundi 8 novembre par la CGT et par Sud jusqu’au dimanche 14 au soir, un préavis de grève est reconduit à La Roche-sur-Yon pour les agents territoriaux « jusqu’au 23 novembre prochain, jour du Comité technique » . Dans leur collimateur : le passage du temps de travail des agents de 1 547 à 1 607 heures. Contactée, la Ville explique qu’il est « trop tôt pour pouvoir donner des chiffres » mais confirme « des perturbations » dans plusieurs services. Un piquet de grève a contraint la médiathèque à fermer ses portes mercredi 10 novembre. À l’école Léonce-Gluard, vendredi 12 novembre, les services de restauration et d’accueil n’ont pas fonctionné. Selon la CGT, « il y a 73 % de grévistes dans les écoles ». Des perturbations sont également annoncées pour la semaine prochaine.

 

Quotidien Ouest-France, ouest-france.fr, mardi 9 novembre 2021

La Roche-sur-Yon. Pourquoi les agents municipaux vont-ils devoir travailler plus ?

Un préavis de grève a été déposé à La Roche-sur-Yon par la CGT et Sud, du lundi 8 novembre jusqu’au dimanche 14 au soir. Dans leur collimateur : le passage du temps de travail des agents de 1547 à 1607 heures.

« Personne ne rentre, personne ne sort depuis lundi matin », explique Benoît Jamonneau, représentant de la CGT des agents territoriaux de La Roche-sur-Yon, devant le piquet de grève installé au centre technique municipal. La CGT et le syndicat Sud-Collectivités ont déposé un préavis de grève pour les agents de la Ville, de l’Agglo et du CCAS. Il couvre toute la semaine, jusqu’au dimanche 14 novembre. Leur mouvement s’inscrit dans le cadre de l’augmentation du temps de travail des agents, passant de 1 547 à 1 607 heures annuelles. 

Actualisé le 22 janvier 2022

 

 

CONTRE L'IM-PASS SANITAIRE !!!

 

Depuis plusieurs, samedi consécutif, et en pleine période estivale, des milliers de manifestant.e.s se sont de nouveau mobilisé.e.s dans toute la France contre le Pass sanitaire avec plus de 200 cortèges. A La Roche-sur-Yon, la colère ne retombe pas. La détermination des nombreu.ses.x manifestant.e.s reste de mise contre le Pass sanitaire pour exiger le retrait de cette loi liberticide, pour la défense des libertés fondamentales, et contre les dispositions qui remettent en cause le droit du travail (suspension du contrat de travail et du salaire des travailleuses et travailleurs démuni.e.s de Pass sanitaire).
 

Dans de nombreux pays, les mobilisations et SaISIneS de juridictions viennent d'abroger l'obligation du Pass sanitaire. En Espagne par exemple, la Cour suprême vient de confirmer l'interdiction du Pass sanitaire en Andalousie en disant que la mesure serait disproportionnée par rapport à la situation épidémiologique; autre exemple au Danemark, à partir du 1 er septembre, le passeport sanitaire ne sera plus exigé dans la plupart des lieux de restauration et de loisirs; plus près de chez nous, dans les Yvelines, le tribunal administratif de Versailles a suspendu l'arrêté préfectoral imposant de présenter un Pass sanitaire à l'entrée des quatorze plus grands centres commerciaux du département. La raison : il ne prévoit rien pour les personnes n'en disposant pas, de se procurer des produits de première nécessité. Saisissons-nous de ces victoires pour convaincre celles et ceux qui sont encore hésitant.e.s à rejoindre la lutte. Seul le rapport de force nous permettra de gagner et de stopper Macron et les patrons qui jouent sur nos peurs et attisent les oppositions.

 

Rappelons, autant que nécessaire, que la CGT a toujours été favorable à la vaccination gratuite, accessible, égalitaire et consentie. Rappelons que la CGT a toujours salué l'avancée sanitaire que les vaccins ont pu apporter aux habitant.e.s de la planète. Rappelons aussi que notre syndicat de classe et de masse a toujours combattu avec la plus grande fermeté celles et ceux, notamment les groupuscules d'extrême droite qui depuis toujours, utilisent ces moments de crise comme la pandémie, pour manipuler les travailleuses et travailleurs, et déverser leurs idées nauséabondes, complotistes, obscurantistes et réactionnaires. Les militant.e.s de la CGT doivent donc occuper le terrain de la lutte, dénoncer celles et ceux qui ne servent que le grand capital, et apporter des éléments de compréhension à tou.te.s les adhérent.e.s, ainsi qu'à nos collègues de travail pour leur permettre de bien mesurer les enj eux et la gravité de la situation. Appuyons-nous sur l'organisation mondiale de la santé qui dit que «la vaccination doit rester un choix et qu 'il faut convaincre et non contraindre ». Appuyons-nous aussi sur la résolution 2361 du conseil de l'Europe et plus particulièrement les articles 7 .3.1 et 7.3.2 qui assurent que « personne ne doit subir de pressions politiques sociales ou autres pour se faire vacciner» et que « personne ne doit être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné».
 

Convaincre et non contraindre, débattre, échanger et non s'opposer sont les seules voies à suivre pour éviter le piège de la division. La CGT s'oppose au Pass sanitaire qui alimente l'opposition entre les vacciné.e.s et non vacciné.e.s, crée la peur de l'autre, la peur du non vacciné, la peur du non testé, la peur du malade de la COVID 19 et qui met la population sous contrôle étatique généralisé. Il ne peut y avoir de remise en cause de liberté de circulation et d'anonymat, de glissements vers des pratiques de surveillance générale de la population et de contrôle d'une partie de la population par une autre partie de la population. Obliger les travailleur.se.s à se vacciner sous menace de suspension de contrat de travail et de privation de salaire est inacceptable et purement scandaleux !


Unissons nos forces et participons massivement aux manifestations pour gagner le retrait de cette loi sanitaire inique, pour imposer le progrès social et préparer une rentrée sociale offensive.  Et exigeons des moyens à la hauteur des besoins de la population pour l'hôpital public et notamment le CHD de La Roche sur Yon

 

"LE HARCELEMENT (VACCINAL) EST INTERDIT"

L'article L 1152-1 du code du travail précise que :
Il aucun salarié ne doit subir les agissements répétés de harcèlement moral qui ont pour objet ou pour effet une dégradation de ses conditions de travail susceptible de porter atteinte à ses droits et à sa dignité, d 'altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel.!!

L'article L16-1 du code civil précise que :

« chacun a droit au respect de son corps. Le corps humain est inviolable.»

L'article L1111-4, du code de santé publique précise que :

« (...) aucun acte médical ni traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment.»

L'article L1132-1, du code du travail dispose que :

« (...) aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou faire l'objet d'une mesure discriminatoire, directe ou indirecte, en raison de son état de santé.»
 

La CGT des agents territoriaux de la RsY (Ville-CCAS-Agglo), opposée à l'instauration d'un "Pass sanitaire", soutiendra les salariés qui sont dans leur droit, el appelle les agents des collectivités territoriales à se syndiquer el à s'organiser pour s'opposer à celle remise en cause des libertés publiques dont l'objectif est de durcir encore les conditions de travail.

Modèles de courriers Gratuits, REJOIGNEZ-NOUS

 

Actualisé le 26 août 2021

 

Perte de 7 jours de congés payés !!!

L'intersyndicale CGT des Territoriaux et Sud CT a tenu une conférence de presse (Ouest France, le Journal du Pays Yonnais, Ma Ville Solidaire et TV Vendée).

A 11h, l'intersyndicale CGT des Territoriaux et Sud CT a donné une conférence de presse, étaient présents Ouest France, le Journal du Pays Yonnais, Ma Ville Solidaire et TV Vendée.

Une centaine d'agent nous ont accompagné en présentiel sur la journée comme gréviste ou avec des heures mensuelles d'information (HMI). Nous les remercions de leur soutien.

UNE PÉTITION DE 687 SIGNATURES - Soit 41% des effectifs.

Dans l'après-midi, l'intersyndicale a été déposer sur le bureau du Maire/Président et du DGS un dossier de 70 pages sur les sujétions particulières/pénibilité au travail pour l'ensemble des métiers de nos collectivités ainsi que nos propositions et bien sûr toutes les pétitions signées.

 

L’intersyndicale propose

  1. La pénibilité commune est propre à tous les métiers des agent.e.s des administrations territoriales.

En dehors de l’aspect juridique en lien avec les Services Publiques permettant à toute collectivité d’octroyer des jours de RTT supplémentaires aux agent.e.s à prendre comme des jours de congés dans le cadre de la reconnaissance de la pénibilité au travail. Nous avons présenté un dossier listant l’ensemble des métiers, toutes filières confondues de nos collectivités.

A la lecture de ce document, le Maire pourra s’apercevoir que tous les métiers sont reconnus en termes de pénibilité au travail.

Ce 1er point revendicatif correspondrait à ouvrir des droits à RTT (soit 8 jours/an) qui seraient posé comme des jours de congés payés.

  1. La pénibilité liée l’ancienneté des agent.e.s à l’âge des agent.e.s des administrations territoriales.

En lien direct avec la prise en compte de la pénibilité au travail et donc de l’usure professionnelle des agent.e.s (TMS, RPS…), nous avons établi une grille renseignant l’ancienneté sur l’ensemble de la carrière professionnelle et le temps hebdomadaire de Service Public reconnu à ce titre.

Ce 2ème point revendicatif correspond à ouvrir des droits allant jusqu’à 5 jours/an en fonction des tranches d’âges d’ancienneté.

  1. Les jours de congés payés

Transformer les 2 jours de congés fractionnés en 2 jours de congés annuels pour l’ensemble du personnel et ainsi passer de 25 à 27 jours de congés en ajoutant 5 jours de congés exceptionnels afin de compenser les 60h pour le passage au 1607h soit au total 32 jours de congés payés.

  1. Les 3 mois de bons et loyaux services

Ceux-ci sont remplacés par des congés d’ancienneté dans la fonction publique en lien avec le point 2.

A partir de 10 ans = 1 jour/an, à partir de 15 ans = 2 jour/an, à partir de 20 ans = 3 jour/an, à partir de 25 ans = 4 jour/an et enfin à partir de 30 ans = 5 jour/an,

Par exemple : un agent qui aura fait 25 ans dans la Fonction publique, il bénéficiera de 30 jours d’ancienneté

Et la mise en place d’une prime de départ à la retraite (montant à définir) en fonction des années effectuées dans la fonction publique (via le COSeL).

 

Cette perte de 7 jours de congés payés annuels signifie une perte de salaire et indirectement du pouvoir d’achat.

Quelles que soient les modalités de l’augmentation du temps de travail, le résultat sera le même : travailler plus pour le même salaire reviendra à une baisse de notre salaire horaire. Ceci est inacceptable alors même que les employés territoriaux sont connus pour la faiblesse de leur rémunération et voient déjà leur traitement constamment tiré vers le bas : gel du point d’indice, retraites... ce sont plusieurs centaines d’euros de rémunération mensuelle que nous avons déjà perdus en 20 ans, le salaire moyen dans la fonction publique territoriale est inférieur de 400€ nets au secteur privé.

 

Mais la cerise sur le gâteau, c'est de passer à des semaines au-delà des 35h pour bénéficier de RTT (Récupération Temps de Travail), mais des jours de RTT ne sont pas des jours de congés payés.

Puisque la santé et le bienêtre au travail font, parait-il, partie des priorités de notre collectivité, rappelons que face à l’explosion des burn-out, des TMS et du mal-être au travail, la réduction du temps de travail est également un enjeu de santé majeur.

 

C’est une régression sociale, congés payés en moins, travailler plus pour gagner moins, suppression de poste (63 postes Equivalent Temps Plein) préconisé par la cour régional des comptes pour équilibrer la masse salariale.

 

Nous sommes la variable d’ajustement, par contre les citoyens ont pu constater l’utilité du service public dans le cadre de la crise sanitaire de la Covid 19, premiers et premières de corvée (écoles, crèches, collecte des ordures ménagères, assainissement, service sociaux, Ephad, …), ont démontré l’utilité sociale des services publics.

 

Quel va être l'impact sur le pouvoir d'achat des emplois les plus précaires que l'on est bien comptant de trouver et que l'on jette comme de vulgaire papier souillé !!!

 

Les services rendus à la population sont indispensables dans une société solidaire et démocratique. C’est le service public tel qu’il a été créé et voulu pour l’égalité, l’équité, la sécurité des Français.

A l'heure où depuis plusieurs années, les agents de la fonction publique territoriale subissent une détérioration sans précédent de leurs conditions de travail, que les agents sont épuisés ; le nombre d'arrêts maladies en hausse le prouve, que les services sont tous sous tension, allons-nous accepter une politique peu soucieuse de notre santé, qui va à contrecourant du progrès social, destructrice d'emplois ?

La loi dite « transformation de la Fonction publique » dans son article 47 a supprimé la disposition légale qui prévoyait la possibilité de maintenir des régimes de travail inférieurs à la barrière des 1607 heures.

 

Cependant la loi ne précise aucune notion de minimum ou de maximum pour les 1607 heures.

  1. L’employeur est-il obligé d’appliquer cet article ?

Les collectivités territoriales ont un principe consacré par la Constitution (art.72 al.3) de libre administration. Ainsi, le Maire peut tout à fait évoquer son droit à la libre administration sans risque de sanction de la part du préfet et ainsi maintenir le régime de temps de travail actuel.

  1. L’employeur peut-il être contraint par la Cour des Comptes ?

La cour des comptes peut faire des rapports, des préconisations mais n’a aucun pouvoir législatif ou de contrainte.

 

CONSERVONS NOS DROITS - NOUS NE LACHERONS RIEN !!!

Actualisé le 5 juillet 2021

 

NON À LA RÉFORME TAQUET !!!  MARDI 30 mars 2021

GRÈVE ET MANIFESTATION à l'appel de "Pas de Bébés à la Consigne"

14h - Place Napoléon - La Roche sur Yon

Le gouvernement annonçait une loi de simplification et d'harmonisation :

il nous offre la déréglementation aux dépends de la qualité d'accueil des tout‐petits

 

Tract appel à la mobilisation CGT Petite Enfance et "pas de bébés à la consigne"

 

 

 

Actualisé le 26 mars 2021

 

Elections CNRAL 2021 - Du 1er au 15 mars 2021, on vote CGT !

 

Résultats chez les actifs la CGT à la 1ère place (tableau ci contre) ainsi que chez les retraités avec 23,96%

 

 

 

 

Actualisé le 23 mars 2021

 

Tract et presse

 COMME TOUT VA TRES BIEN !!!

Nous vous invitons à un rassemblement

Vendredi 15 janvier 2021 à 10h

Place du Théâtre - La Roche-sur-Yon

Les difficultés existantes avant la COVID_19 n’ont fait que s’amplifier en impactant considérablement les conditions de travail des personnels et cette crise sanitaire a mis en évidence l’absolu nécessité de l’utilité du service public.

Alors NON, il n’y a pas de souffrance au travail, pas plus de mal-être donc tout va bien dans le meilleur des mondes.

Mais alors pourquoi se poser autant de questions ?

Existons-nous réellement ? Avons-nous perdu nos repères ? Avons-nous été mis(e) à l’écart ? Avons-nous l’impression d’être sanctionné(e) ? Eprouvons-nous de la frustration, de la colère, de la lassitude, un sentiment d’injustice ou d’humiliation ?

Avons-nous le sentiment d’être reconnu(e)s dans notre travail ? Est-ce que les règles sont équitables pour tou(te)s ?

Ressentons-nous un sentiment d’insécurité ? Avons-nous une perte de sens du travail ?

Vos relations avec la hiérarchie sont-elles bloquées ? Y a-t-il toujours de la communication ? Les décisions sont-elles expliquées et les revendications sont-elles entendues ?

Avons-nous un sentiment de bienveillance, de reconnaissance ou d’empathie de notre hiérarchie ?

Le management génère-t-il de l’individualisation ? Cela casse-t-il les collectifs de travail ? Agents vous repliez-vous sur vous-mêmes en entrant en concurrence et en adoptant une position de retrait face à la mission de service public?

Le malaise au travail est-il un sentiment pénible et irraisonné dont on ne peut se défendre : angoisse, inquiétude, mal-être, souffrance, tristesse, etc. ? Sommes-nous dans le désarroi ?

Nous n’avons aucuns troubles sous aucunes formes que ce soi : prise de médicaments, absentéisme répété, manifestations de stress, angoisse d’aller travailler, agressivité entre collègues, alcoolisme, boule au ventre de peur de mal faire, isolement de certains employés, consultation psychologique, etc. ?

Nous agents ne sommes-nous pas seulement en difficulté, mais aussi l’organisation dans laquelle nous travaillons?

Comme tout va très bien !!!

Actualisé le 23 janvier 2021

Article Ouest France

La CGT des Territoriaux a tenu une conférence de presse

lundi 21 décembre en présence de Ouest France.

Voici le contenu remis au journaliste et l'article de presse paru le mardi 22 décembre

 

Conférence de presse / Communiqué remis à Ouest France

Aujourd’hui, la collectivité monopolise la scène médiatique en s’appropriant la communication publique au détriment du dialogue sociale.

L’excès de communication à destination des yonnais(es) a eu pour effet un bâillonnement complet de l’expression démocratique.

Les nombreuses sollicitations de la CGT des Territoriaux Ville-CCAS et Roche Agglo sont restées lettre morte avec un confinement de l’expression.

La CGT voudrait remettre sur le devant de la scène les difficultés vécues par les agents au sein de la collectivité. La crise sanitaire a mis en évidence l’absolu nécessité de l’utilité du service publique.

Les difficultés existantes avant la crise n’ont fait que s’amplifier en impactant considérablement les conditions de travail des personnels au détriment du service rendu à la population.

EHPAD

Nous avons beaucoup parlé des personnels soignants, aujourd’hui les objectifs pointés vont essentiellement vers le résident et son bien-être.

  • Quels moyens concrets sont alloués aux EHPAD et aux agents pour leur permettre d’atteindre cet objectif ?

  • ½ temps de direction est-il suffisant pour gérer et coordonner des équipes au sein d’un EHPAD ?

  • Qu’en est-il du plan EHPAD’YON ? Le personnel a-t-il été concerté ?

Médiation, Education, CTM

  • Qu’en est-il du renforcement de l’équipe de médiation sociale annoncé dans la presse écrit par M. le Maire ?

  • Recrutement de 4 médiateurs ?

  • Reconnaissance de métier en appliquant le décret permettant la qualification des postes en catégorie B ?

Les questions de la reconnaissance de l’organisation et des moyens humains se posent également sur la Direction Education et sur le Centre Technique Mutualisée sur l’ensemble des métiers qui les composent.

Etat Civil

Ces personnels sont en première ligne depuis le début de la crise sanitaire et en grande souffrance.

  • Aujourd’hui, que comptez-vous faire sur cette situation ?

Les agents, soutenus par la CGT, ont sollicités M. le Maire depuis le 16 septembre à ce jour ils restent sans réponses !!!

Temps de travail dans la collectivité

La collectivité a pour obligation d’augmenter le temps de travail à 1607h comme le prévoit la loi de transformation de la Fonction Publique

  • Quels seront les compensations : du travailler plus et gagner plus ou du travailler plus pour gagner moins ? Valorisation du Régime Indemnitaire ? Augmentation du cycle hebdomadaire générant des jours de RTT ?  Conservation des jours de bonification d’ancienneté ? Autres ?

Prévention, sécurité au travail et médecine préventive

  • Quelle place accorde-t-on à la prévention et la sécurité au travail ?

  • Quel est le rôle et la mission de la médecine préventive ?

  • Le CHSCT est-il reconnu comme une instance décisionnaire ou consultative ?

Aujourd’hui le manque de reconnaissance humaine, d’objectifs clairs, de cohérence ainsi que les non réponses génèrent une perte de sens au travail qui renforce les risques psychosociaux et accroit la souffrance au travail qui se concrétise par de nombreux arrêts maladies.

  • Devons-nous faire un lien avec les récents départs d’agent occupant des postes clés ?Actualisé le 23 janvier 2021

Actualisé le 23 janvier 2021

 

Dossier ATSEM

La Roche-sur-Yon

 

 

Consultez "La CGT vous informe"

1- COVID 19 - Les véritables mesures de protections des salarié.e.s (ici)

2 -  Les nouvelles modalités de recours au télétravail dans la Fonction Publique (06-05-20) (ici)

3 - Prime COVID 19 (ici)

 Actualisé 18 Mai 2020

 

La CGT Fonction Publique met à votre disposition un site dédié (cliquez sur l'image) concernant les droits et garanties des agents pendant la période liée au Coronavirus sur lequel vous trouverez des informations mais aussi des réponses à différentes questions que se posent les agents.

Travaillées sur le terrain du droit et sur la base de notre expertise syndicale, ces réponses sont susceptibles d’évolutions rapides du fait notamment de l’état d’urgence sanitaire, des ordonnances, des décrets, des pratiques et des spécificités professionnelles mais aussi de la jurisprudence d’ores et déjà existante.

En cas notamment de contentieux avec les employeurs publics il est nécessaire pour les personnels concernés de se rapprocher de leurs syndicats. 

Actualisé 10 avril 2020

 

Tract

EHPAD, services d’aide à domicile... Tou.te.s en action le 8 octobre 2019 !

Exigeons du gouvernement qu’il réponde à la hauteur des besoins.

Exigeons 200 000 emplois pour l’aide à la personne !

Publié le  17 septembre  2019

 

 

 

En résumé à compter du 1er septembre 2019

Participation de la Collectivité à la Protection Sociale Complémentaire Santé

La CGT des Agents Territoriaux Ville, CCAS et de La Roche-sur-Yon Agglomération a adressé le 8 mars dernier un courrier M. Luc BOUARD (Maire/Président) avec copie à M. Michel VIAULT (DGS) demandant la réouverture des négociations afin de revoir les montants d’aide de l’employeur sur la Prévoyance et la Complémentaire Santé de ses agents.

Leur rappelant ce qui avait été mis en place en 2013, 3 seuils avaient été établis et 3 montants qui ont augmenté de 1 euro par an sur 3 ans, mais sans aucune réévaluation depuis.

Voici ce qui avait été mis en place en 2013

Seuil salaire annuel          Inférieur à 19 000 €                         De 19 001 à 26 500 €                        Supérieur à 26 500 €

Montant participation           15 € --> 18 €                                       10 € --> 13 €                                          5 € --> 8 €

 

La CGT a lu le courrier lors du Comité Technique du 11 mars dernier en ayant comme réponse du Directeur Général des Services que c’est à l’étude, qu’il fallait envoyer nos propositions et qu’on se reverrait prochainement avec les propositions de l’administration.

La CGT a envoyé ses propositions sur la complémentaire santé afin de rendre accessible la couverture médicale aux revenus les plus modestes mais en demande la révision de la garantie prévoyance.

Nos propositions ont été les suivantes pour la Complémentaire Santé en restant sur 3 tranches par rapport au revenus annuels comme auparavant : 

1ère tranche --> 30 €                 2ème Tranche --> 20 €                 3ème tranche --> 15 €

 

Le 7 juin, les organisations syndicales ont été invitées par l’administration à la présentation de leurs propositions sur les 2 risques, la Santé et la Prévoyance.

  • Pour la prévoyance, nous étions sur une participation forfaitaire financière pour les agents qui avaient adhéré à un contrat de 6,30 € brut. Le souhait de la collectivité est d’augmenter significativement le niveau de sa participation en mettant un système de tranches en fonction du niveau de rémunération :

1ère inf. à 20 000 € --> 15 € | 2ème de 20 000 à 30 000 € --> 12€ | 3ème sup. à 30 000 € --> 10 €

  • Pour la Santé, le versement de la participation financière aux agents devait être justifiée par un contrat labellisé. On reste sur le même dispositif, voici les propositions qui nous ont été faites sur la base des revenus annuels nets imposables :

1ère inf. à 20 000 € --> 28 € | 2ème de 20 000 à 30 000 € --> 20€ | 3ème sup. à 30 000 € --> 12 €

Au vu des propositions faites, l’ensemble des organisations syndicales présentes a été relativement satisfait des propositions de l’administration et de la collectivité. Malgré tout la CGT a demandé au Directeur Général des Services de faire un effort sur les plus bas salaires pour la Santé en portant l’aide à 30 €. Le DGS n’a pas fermé la porte et a demandé que ce soit étudié.

 

Le lundi 24 juin, lors du Comité Technique, il nous a été présenté le dossier «Protection complémentaire Prévoyance, Santé» qui a été validé par les autres OS et par la CGT car l’administration a tenu compte de notre demande portant l’aide sur la Santé à 30 € pour les plus bas salaires.

Il en découle que les propositions faites par La CGT ont été retenues.

Merci pour l’ensemble des agents !!!

Publié le  1er juillet  2019

 

 

le 9 mai 2019

 

5 avril 2019

Le Mardi 11 juin 2019, une Délégation d’Animateurs accompagné par la CGT

ont été reçu par la Collectivité

 

9 mai 2019, rassemblement 10 h devant l'école Montessori,

les animateurs n'ont pas été entendus le 5 !!! 

 

5 avril 2019, Animateurs en Colère !!!

Les animateurs disent STOP, dans leur quotidien ils constatent :

Une insécurité pour les enfants,

Une dégradation des conditions de travail,

Un manque de reconnaissance,

Une précarisation du métier d’animateur.

Ils revendiquent

  • Un retour aux mêmes taux d’encadrement que les accueils extrascolaires réglementés par le code de l’action sociale et de la famille à savoir : 1 Animateur pour 8 enfants de 3 à 6 ans - 1 Animateur pour 12 enfants de 6 à 12 ans, et non pas 1 animateur pour 16 enfants avec une tolérance allant jusqu’à 19 enfants

  • Une véritable professionnalisation des animateurs (formation et information auprès de professionnels)

  • La présence de leur responsable suite à des difficultés rencontrées sur des créneaux horaires précis. Les animateurs sont les seuls décisionnaires à ces moments là. A quoi sert l’astreinte de sécurité ?

  • Un manque de remplacement suite à des arrêts (maladies, accidents de travail) sauf lors de grèves !!! Quelle est la priorité ? L’encadrement de 92 enfants pour 2 animateurs (dont un remplaçant gréviste) !!! Ou la fermeture du site avec une explication aux parents.

  • Revalorisation des salaires

Publié le  26 juin  2019

 

 

 

 

   

 La bataille pour le retrait du projet de loi Fonction publique est bien engagée (Communiqué et vidéo)

Ce 27 mars, à l’occasion du passage au Conseil des ministres du projet de loi dit de transformation de la Fonction publique, des initiatives ont eu lieu sur tout le territoire à l’appel des 9 organisations syndicales représentatives de la Fonction publique. A Paris, plus de 500 personnes se sont rassemblées à proximité de l’Élysée.

Après le rejet unanime du texte par les syndicats lors du Conseil commun de la Fonction publique du 15 mars, il s’agissait d’une nouvelle étape dans le processus de mobilisation pour exiger le retrait du projet de loi mais également la mise en œuvre d’une autre politique rompant avec l’austérité et dotant les services publics des moyens nécessaires à l’accomplissement de leurs missions.

A l’inverse des orientations régressives du pouvoir exécutif, la CGT milite plus que jamais pour un Statut général, certes rénové, mais aussi renforcé, socle incontournable de l’égalité d’accès aux emplois publics et garant pour l’usager d’un agent public neutre et impartial dans l’exercice de ses missions.

Face à cette tentative de passage en force du Président de la République et du gouvernement – après le gel des salaires, le rétablissement du jour de carence, les nouvelles et massives suppressions d’emplois, les privatisations en cours ou en projet de nombreux services, la CGT appelle clairement à l’élévation du rapport de forces.

Dans l’unité d’action la plus large, elle appelle d’ores et déjà à multiplier les mobilisations dans le mois d’avril et à faire du 9 mai prochain, par la grève et les manifestations, une étape déterminante et massive dans le processus indispensable pour gagner sur nos légitimes revendications.

Publié le  28 mars  2019

 

 

A lire

Petite enfance, crèches en danger ! Mobilisation le 28 mars sur tout le territoire

Réforme des modes d’accueil : « Pas de Bébé à la Consigne » appelle à la plus grande vigilance

La CGT appelle à la mobilisation sur tout le territoire le JEUDI 28 MARS 2019

À Nantes, le collectif Pas de Bébé à la consigne se rassemblera

devant La Préfecture de 12h à 14h pour un pique nique partagé.

 

POUR le bien-être et la sécurité des enfants,

POUR des établissements d’accueil et un service public de qualité de la Petite Enfance,

POUR l’accès des assistant.e.s maternel.le.s à la médecine du travail,

POUR une politique ambitieuse de la Petite Enfance, véritable investissement pour l’avenir de nos enfants et de notre société

Publié le  25 mars  2019

 

Courrier adressé aux syndiqué.e.s de la Fonction publique

Chères et Chers collègues,

Chères et Chers Camarades,

Que vous travailliez dans un hôpital, une collectivité territoriale ou une administration de l’Etat, vous êtes confronté.e.s à la politique néfaste d’Emmanuel Macron et du gouvernement depuis près de deux ans.

Poursuite du gel de la valeur du point entraînant des pertes de pouvoir d’achat considérables, retour du stigmatisant et injuste jour de carence, mauvaise compensation de la hausse de la Contribution Sociale Généralisée - hausse que nous ne réclamions pas, bien au contraire puisque nous sommes opposés à la CSG, nouvelles et massives suppressions d’emplois alors que nombre de services sont en grande difficulté parce qu’en sous-effectif, abandons et privatisations de missions publiques au détriment de l’intérêt général…, la liste est déjà bien longue des mauvais coups portés contre le service public, ses agents et les usagers.

Les pensionné.e.s ne sont pas oublié.e.s puisque les mesures régressives contre les retraités, notamment, sur les niveaux des pensions, tombent drues également.
Mais, dans sa frénésie ultra-libérale, le pouvoir exécutif ne compte pas s’arrêter là.
Voici qu’il met en route un projet de loi dévastateur en même temps que d’autres sur la santé, la justice, l’école…, dont l’objectif n’est rien d’autre que le démantèlement du Statut général des fonctionnaires.

Or, même si celui-ci a bien entendu besoin d’être rénové et renforcé, il constitue un socle essentiel pour une fonction publique porteuse de progrès social et au service de toute la population.

En prévoyant explicitement des restructurations et de des fermetures de services, en multipliant les dispositifs pour organiser des mobilités contraintes tous azimuts, en ôtant aux commissions administratives paritaires leurs principales compétences notamment en matière de mutations et de promotions, en accroissant de façon quasi illimitée le recours au non-titulariat et à la précarité, en faisant de la part individuelle des salaires – adossée sur des critères importés du secteur privé et de la loi du marché – un élément déterminant de la rémunération, ce projet de loi constitue une attaque sans précédent et même un basculement de modèle social.

Dans la démarche autoritaire qui est la leur, le Président de la République et les ministres passent outre l’avis de toutes les organisations syndicales et projettent un véritable passage en force.

Qu’on en juge : le projet de loi, dévoilé le 13 février, est soumis pour avis aux divers organismes consultatifs de fin février à début mars, devrait être adopté au Conseil des ministres le 27 mars, débattu à l’Assemblée Nationale en mai, au Sénat en juin, le tout en procédure accélérée pour mieux encore museler le débat.

Ce sont la gravité et l’urgence de cette situation qui nous conduisent à cette démarche inhabituelle, un peu solennelle mais, à nos yeux, indispensable.

Unies dans une même démarche sur les trois versants de la Fonction publique, nos organisations expriment clairement leur conviction que l’heure est à élever le rapport de forces et à l’inscrire dans des formes de continuité.

Nous n’entendons pas laisser casser la Fonction publique.

Tout au contraire, nous voulons amplifier notre combat pour promouvoir des services publics toujours au service des citoyen.n.e.s et dotés des moyens nécessaires pour leur fonctionnement et l’accomplissement de leurs missions publiques.

Dans ces circonstances d’affrontement qu’a choisies le pouvoir exécutif, nous avons besoin de l’appui et de l’engagement de toutes et tous.

Notre lutte est celle du plus grand nombre, syndiqué.e.s et agent.e.s de la Fonction publique, usager.ère.s.

Le travail syndical dans les territoires sera la base de la nécessaire mobilisation d’ampleur. Dans l’unité d’action pour laquelle nous oeuvrons au quotidien, toutes les forces de notre CGT doivent donc se rassembler, sur les lieux de travail comme dans les territoires, pour développer le service public, améliorer nos carrières, nos conditions de travail et notre pouvoir d’achat.

De premières étapes du processus de mobilisation sont déjà en construction avec les journées d’actions du 8 mars pour le droit des femmes, du 19 mars à l’occasion d’un temps fort de convergence privé et public et à l’occasion du passage au Conseil des ministres du projet de loi sans doute le 27 mars.

Il nous faut aller plus loin et plus fort.

Des séquences nouvelles de mobilisation sur les trois versants de la Fonction publique sont à construire sans tarder.

C’est ce que nous porterons à l’intersyndicale Fonction publique du 13 mars prochain.

Et c’est en sachant pouvoir compter sur vous et votre détermination que nous avons le ferme espoir d’arrêter le bras de ceux qui veulent détruire le service public et, au-delà, d’obtenir les avancées indispensables au progrès social.

Très cordialement,

 

Baptiste TALBOT
Secrétaire Général
Fédération des Services Publics

 

Mireille STIVALA
Secrétaire Générale
Fédération de la Santé et de l’Action Sociale

 

Jean-Marc CANON
Secrétaire Général
Union Fédérale des Syndicats de l’État

Publié le 27 février 2019

 

 

8 mars l'heure des comptes

 

8 mars - Moi quand je serai grande j'aurai un salaire d'homme

  Journée de lutte pour le droit des femmes :  Le 8 mars en action ! 15h40

Pour La Roche-sur-Yon, action le samedi 9 mars !

Le stand de La CGT de Vendée sera présent de 10h00 à 17h00 place Napoléon à la Roche sur Yon avec le Planning Familial, la LDH, Amnesty, LGBT, Familles Laïques, Solidaires.

Nous sommes caissières, enseignantes, agentes d’entretien, secrétaires, infirmières, aides à domiciles, assistantes maternelles, travailleuses sociales, administratives, sage-femmes, hôtesses... Nos métiers sont indispensables à la société. Pourtant, ils sont mal rémunérés et leur pénibilité n’est pas reconnue.

Nous sommes ingénieures, techniciennes, ouvrières, employées ou cadres. Nous faisons le même travail que des hommes mais avec un salaire inférieur. Nous sommes à temps partiel avec un salaire partiel souvent parce que nous n’avons pas d’autre choix .

Entre les courses, le ménage et les enfants, nous réalisons en moyenne 20 h de tâches ménagères par semaine.

Notre travail est invisibilisé et dévalorisé. Notre salaire est inférieur de 26% à celui des hommes. De ce fait, à partir de 15H40 nous travaillons gratuitement.

Nous sommes retraitées et notre pension est de 40% inférieure à celle des hommes. Nous combattons de longue date la précarité remise sur le devant de la scène avec force par les gilets jaunes.

Nous sommes étrangères, victimes de racisme, handicapées, lesbiennes, et nous cumulons les discriminations.

Nous sommes des femmes et au travail, dans la rue ou chez nous, nous sommes confrontées à des violences sexistes et sexuelles.

Nous sommes des Brésiliennes, des Espagnoles, des Iraniennes, des Argentines, des Polonaises, des Indiennes, des Etats-Uniennes et nous sommes partout dans le monde solidaires de toutes les femmes qui luttent contre les réactionnaires et conservateurs au pouvoir.

Pour dire que nous exigeons nos droits. Pour exiger que notre travail soit reconnu et rémunéré. Pour imposer la fin des violences et garantir nos libertés de choix. Pour gagner l’égalité. Pour faire entendre nos revendications à nos employeurs et au gouvernement.

Publié le  18 février 2019

 

 

Tract  Mardi 5 février

 

Tract Dans Ta Poche

 

Tract  Mon Salaire

 

Pour un SMIC à

 

Le 5 février en GRÈVE pour gagner !!!

Alors que montent les exigences de justice sociale et de renforcement des services publics de proximité, alors que s’exprime la volonté de pouvoir tout simplement vivre sans la peur du lendemain, le gouvernement prévoit : *

  •  de généraliser la possibilité du recrutement contractuel, c’est à-dire de développer la précarité, d’accroître les inégalités entre agents, d’ouvrir les vannes au recrutement clientéliste ou partisan et de faire peser des risques majeurs sur l’égalité de traitement entre usagers

  • d’affaiblir les libertés syndicales et les organismes de représentation, et de soumettre ainsi davantage les agents à l’arbitraire

  • de généraliser l’individualisation et le caractère aléatoire des rémunérations, facteurs d’inégalités et de précarité pour les personnels.

Ces orientations sont combattues par toutes les organisations syndicales de la Fonction publique. Alors que le «grand débat national» doit traiter des services publics et de la réforme de l’Etat, les ministres maintiennent les orientations régressives du projet de loi Fonction publique. Cette situation nous conforte dans notre analyse du caractère factice du « grand débat national ». Les projets gouvernementaux concernant notre système de retraite sont également porteurs de reculs dramatiques.

Publié le  29 janvier 2019

 

 

Articles Ouest France et

Journal du Pays Yonnais

 

DÉBRAYAGE le 24 JANVIER au CENTRE TECHNIQUE MUTUALISE

Nous nous trouvons aujourd’hui confronté à une réorganisation d’un secteur du Centre Technique Mutualisé par sa direction. Celle-ci oblige à des agents des mobilités non choisies. Cela nous inquiètes !!!

Si la collectivité commence à utiliser de telles pratiques, pourquoi ne le ferait-elle pas sur l’ensemble des services de la Ville, du CCAS et de l’Agglo ?

De plus, les agents du CTM craignent de n’avoir plus que des missions de maintenance qui auraient pour conséquence la perte de leur métier et de leur professionnalisme.Nous sommes fermement opposés à ces décisions contre productives.

Nous sommes :

  • Contre l’externalisation des services publics

  • Pour l’arrêt des suppressions de postes

  •  Pour le remplacement des agents (retraite, disponibilité, etc..)

  •  Pour l’arrêt des mobilités forcées

  • Pour l’amélioration des conditions de travail et du bien-être dans les services

  • Pour la création et le maintien des emplois publics, statutaires

  • Pour l’arrêt du développement des emplois précaires

C’est pourquoi nous vous proposons d’exprimer notre mécontentement

En nous retrouvant, le jeudi 24 janvier 2019

de 8h à 12h à l’entrée du Centre Technique Mutualisé

Si vous souhaitez débrayer avec nous, vous pouvez le faire de manière fractionnée (1h, 2h, 3h, demi -journée ou journée)

ENSEMBLE NOUS SERONS PLUS FORTS, SOYONS SOLIDAIRES AVEC NOS COLLÈGUES DU CTM !

Publié le  28 janvier 2019

 

Élections Professionnelles le 6 décembre 2018

Résultats Ville-CCAS-La Roche-sur-Yon Agglomération (ici)

Sur le plan Local,

en Comité Technique nous perdons 1 poste sur 2 auparavant, déception.

Les raisons sont multiples :

 - avec un taux d'abstentions de 66% en CT (1780 inscrits/785 votants)

 - pas de liste en CAP A, le taux de participation a été de + 53% (181 inscrits/107 votants)

 - en CAP B, forte participation presque 65% de votants répartis sur les 4 listes, CGT 1 poste.

 - en CAP C, 50% de votants, la CGT garde ses 2 postes mais finit 3ème. Le syndicat SUD 85 devance la CFDT.

 - point positif, seul à faire une liste en CCP C donc élu. Mais seulement 10% des inscrits se sont déplacés.

 - des secteurs entiers comme les EHPAD ou le scolaire qui ne se sont pas déplacés


Sur le plan Départemental,

Centre de Gestion de la Vendée, Comité Technique


Sur le plan National,

la CGT est confirmée comme première organisation de la Fonction publique. Avec 21,8% des voix, nous avons près de 3 points d’avance sur le deuxième syndicat (la CFDT). Il est exact que nous reculons (de 1,3 point) mais c’est également le cas des deux autres confédérations arrivées deuxième et troisième.
Nous demeurons nettement en tête dans le versant hospitalier et dans le versant territorial, cependant que nous progressons dans les deux tiers des scrutins concourant au Conseil Supérieur de l’État.

 

Scrutin  CFDT CFTC CGC CGT FAFPT FGAF FO FSU SUD SOLIDAIRES UNSA SAFPT DIVERS TOTAL
CT 201 601 31 166 13 462 257 347 64 890 3 011 143 375 33 924 34 099 74 046 9 961 27 240 894 122
TOTAL 201 601 31 166 13 462 257 347 64 890 3 011 143 375 33 924 34 099 74 046 9 961 27 240 894 122
% 22,547 3,486 1,506 28,782 7,257 0,337 16,035 3,794 3,814 8,281 1,114 3,047 100

 

La CGT tient à remercier ses militantes et militants qui se sont investis sans compter pour assurer notre place de première organisation syndicale dans la Fonction publique et les plus de 500 000 électrices et électeurs qui ont apporté leur voix à notre syndicat.

 

Publié le 17 décembre 2018

Commission Administrative Paritaire (CAP)

du 6 avril  sur les Avancements de Grade et Promotion Interne 2018

Bilan de la CAP de catégorie C
La CGT grâce à sa ténacité et persévérance a récupéré (voir détail ICI)
8 agents dans le cadre des avancements de grade et 1 agent dans le cadre de la promotion interne

 

  La charte de reconnaissance du parcours syndical permet aux agents territoriaux de la Ville, CCAS, La Roche-sur-Yon Agglomération de mieux concilier carrière professionnelle et engagement syndical.

Cette charte repose sur un principe fort "la non-discrimination" des agents engagés dans un mandat syndical et l’affirmation de la valeur de l’expérience syndicale.

Il s’agissait de créer les conditions favorables à une meilleure articulation entre mandat syndical et activité professionnelle afin d’assurer aux personnes tentées par l’aventure militante que leur engagement ne nuirait pas à leur carrière.


Témoignages

Membre élu Comité Technique : « Pour bon nombre, le syndicalisme est vécu comme un frein à la carrière. L’encadrement le perçoit comme un travail facile. Là, c’est tout le contraire l’engagement militant est reconnu pour une parenthèse enrichissante, y compris en ce qui concerne la suite de sa carrière.»

Membre élu CHSCT : « Au début de notre mandat, on pourra évaluer l’impact de notre nouveau statut sur le fonctionnement du service. Cela nous permettra d’expliquer nos absences et nos missions syndicales à notre responsable hiérarchique, et de définir avec lui la meilleure articulation possible. »


L'existence de cette charte permet d’offrir une autre vision du syndicalisme aux agents comme aux responsables hiérarchiques et managers.

« La culture du dialogue social ne s’improvise pas, une charte reste une charte si belle qu'elle soit, ce n'est pas un outil miracle. À nous, syndicalistes, de la faire vivre ! »

La Charte

Publié le  6 avril 2018

 

Tract Jeudi 22 mars

Tract Intersyndicales

Puissante mobilisation ce 22 mars dans la Fonction publique

Une nouvelle étape réussie qui en appelle d’autres !

Avec plus de 500 000 manifestant.e.s dans plus de 180 manifestations et rassemblements sur l’ensemble du territoire, un taux global de grévistes significativement supérieur à celui du 10 octobre 2017, avec des pointes à plus de 60 % dans certains secteurs professionnels, les agent.e.s de la Fonction publique, fonctionnaires et non-titulaires, actives.actifs et retraité.e.s, se sont massivement mobilisé.e.s.

 

Après la forte mobilisation du 10 octobre dernier, cette nouvelle journée de grève et de manifestations, à l’appel d’une intersyndicale largement majoritaire, est une nouvelle étape réussie qui en appelle d’autres.

Les personnels de l’État, des collectivités territoriales, de la santé et de l’action sociale ont ainsi une nouvelle fois fortement exprimé leur volonté de gagner sur leurs revendications et d’imposer d’autres choix pour une Fonction publique au service de l’intérêt général et du progrès social.

 

Le gouvernement doit renoncer aux attaques d’un niveau inédit engagées contre la Fonction publique et donc contre l’intérêt général. Il doit maintenant répondre aux revendications notamment en matière de création d’emplois statutaires, de résorption de la précarité, d’égalité professionnelle, de salaires par la revalorisation de la valeur du point d’indice, d’abandons de l’augmentation de la CSG et du jour de carence, de pérennisation du système de retraite par répartition et des régimes particuliers, de moyens budgétaires nécessaires à l’accomplissement des missions de service public.

 

La CGT Fonction publique se réjouit que cette journée du 22 mars ait aussi été un moment fort d’expression des revendications et de convergence des luttes, marquée notamment par la convergence à Paris de la manifestation nationale des cheminots et de la manifestation francilienne des agents de la Fonction publique. Elle souligne également le soutien majoritaire de la population à ces mobilisations.

 

L’unité syndicale dans la Fonction publique est un puissant vecteur de mobilisation autant qu’un signe de la gravité de la situation. La CGT se félicite du rassemblement des personnels avec leurs organisations syndicales.

 

Face à l’obstination et à la frénésie dévastatrice du Président, du gouvernement et de la majorité parlementaire, elle appelle les personnels à se réunir pour débattre du renforcement et de l’inscription dans la durée de cette dynamique de mobilisation. C’est sans attendre qu’elle doit se concrétiser dans de nouvelles actions dans les jours et les semaines qui viennent. C’est dans cet état d’esprit que notre organisation participera à la prochaine réunion de l’intersyndicale Fonction publique le 27 mars.

 

La CGT Fonction publique s’inscrit dans la journée d’action interprofessionnelle du 19 avril.

Publié le  26 mars 2018

 

Grille des Salaires

Barème des traitements au 1er Février 2018

Valeur du Point d'Indice : 4,6863 €

Les Tableaux des différentes échelles des catégories A-B-C remis à jour

(onglet: "LES SALAIRES/Echelle des Salaires")

Publié le  8 février 2018

 

 

Parcours Professionnels Carrières Rémunérations

Pourquoi la CGT a eu raison de ne pas signer ?

 

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PPCR | Pourquoi la CGT a eu raison de ne pas signer ?

En 2015, après une large consultation de ses syndiqués, la CGT a décidé de ne pas signer le protocole PPCR. À cette occasion, elle a été rejointe par les syndicats FO et Solidaires. Ces trois organisations représentent plus de 51-% des agents. Ce protocole minoritaire n’aurait jamais dû être appliqué si la loi sur la représentativité avait été appliquée.

Cependant, Manuel Valls, 1er ministre, habitué au coup de force dans cette période, a décidé d’un coup de menton autoritaire de balayer la démocratie sociale en imposant le PPCR

Pour la CGT, l’augmentation du point d’indice, la grille unique reconnaissant les qualifications des agents et un déroulement de carrière linéaire sur deux grades avec doublement du salaire du début à la fi n de la carrière, sont les seules revendications qui permettraient une vraie augmentation des salaires, du pouvoir d’achat et des retraites.

 

Dans l’immédiat, la CGT exige les suppressions des ratios promus/promouvables qui amplifient les inégalités entre les agents des différents filières, grades et collectivités.

Publié le  06 février 2018

 

Mardi 30 janvier 2018

Grève dans les EHPAD : une lame de fond venue de loin

« Cassés », « usés », « à bout », les personnels des établissements d’hébergement des personnes âgées dépendantes étaient en grève, ce mardi. Ils réclamaient davantage de moyens afin de s’occuper « dignement » des aînés à l’appel d’une large intersyndicale (CGT, CFDT, FO, Unsa, CFTC, CFE-CGC et Sud), soutenue par l’association des directeurs au service des personnes âgées (AD-PA), plusieurs syndicats et associations de retraités.

A La Roche, environ 500 personnes sont rassemblées devant le conseil départemental, rue du Maréchal Foch.

La Roche-sur-Yon - 500 manifestants devant le Conseil Départemental de La Vendée

Rassemblement des salariés des Ehpad devant le ministère de la santé (Paris 30 janvier 2018)

Publié le  05 février 2018

 

  Reconnaissance et évolution de carrière des ATSEM… Des pistes qui restent à confirmer.

La deuxième réunion animée par la DGCL s’est tenue le 6 juillet.

 

Trois propositions ont été avancées par la Direction Générale des Collectivités Locales (DGCL), l’Inspection Générale de l’Administration (IGA) et l’Inspection Générale de l’Éducation Nationale (IGEN) :

  1. La réécriture de l’article 2 du cadre d’emploi d’ATSEM. Si la CGT a pointé une volonté de différencier la fonction d’assistance à l’enseignant de la fonction d’animation péri-éducative afin de mieux la reconnaître, la responsabilité hiérarchique exercée par l’autorité territoriale ne figure pas dans le texte.

  2. La DGCL propose un protocole entre l’AMF et les ministères concernés afin de préciser les responsabilités du Maire et de l’Éducation nationale en matière de santé au travail, la pénibilité, le temps de travail, le temps de réunion et de formation… La CGT a réaffirmé la nécessité d’un texte réglementaire qui s’impose à tous les employeurs y compris à l’Éducation nationale. Par ailleurs, il a été rappelé que pour réduire la pénibilité, il fallait un taux d’une ATSEM par classe et qu’une réflexion soit conduite sur la réduction du temps de travail des ATSEM.

  3. Une évolution de carrière des ATSEM : deux pistes ont été évoquées :

  • soit sur le grade d’animateur territorial (B, filière animation) par un concours interne spécial ;

  • soit sur le grade d’agent de maîtrise (C, filière technique) par les trois voies (concours interne, externe et promotion interne) avec la création d’une spécialité ATSEM.

Les deux possibilités pourraient être complémentaires selon la DGCL. La CGT réaffirme la nécessité d’une évolution en catégorie B afin de permettre un véritable déroulement de carrière.

 

L’IGA et l’IGEN doivent rendre fin juillet leur rapport à Gérald DARMANIN, ministre du Budget et des comptes publics.

 

Si le dialogue est satisfaisant et ce travail semble aboutir à des propositions concrètes visant à répondre aux légitimes revendications des ATSEM, il s’agit maintenant qu’elles soient confirmées en plénière du CSFPT le plus tôt possible. La CGT reste vigilante et continuera à porter les revendications des ATSEM notamment sur le taux d’encadrement.

Publié le  11 juillet  2017

 

 

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Rapport ATSEM, CSFPT

 

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ATSEM, ils nous ont entendu.e.s !

 

Vidéo 1er février

ATSEM en lutte, la colère grandit ! En grève le 1er Février

ATSEM - 1ère rencontre du groupe de travail pour la « reconnaissance des ATSEM »

Mardi 29 mars 2017 - La CGT ne lâchera rien !

Comme annoncé par la ministre de la Fonction publique, le groupe de travail pour « la reconnaissance des ATSEM » s’est réuni pour la première fois mercredi 29 mars 2017. Constitué dans le cadre du CSFPT et présidé par la Direction Générale des Collectivités Locales (DGCL), le groupe de travail a réuni les représentants des employeurs et les organisations syndicales représentatives de la FPT.

 

Cette rencontre a eu pour objet d’aborder trois axes de travail :

1- Préciser les missions confiées aux ATSEM. La CGT a présenté une proposition de rédaction du nouvel article 2 pour reconnaître les missions éducatives à leur juste valeur.

2- Proposer des mesures sur les conditions de travail, la pénibilité du métier et les outils de prévention. La CGT a réaffirmé la nécessité d’une ATSEM à temps plein par classe pour améliorer les conditions de travail de manière significative, réduire la souffrance et obtenir la reconnaissance professionnelle liée au rôle éducatif des ATSEM. La CGT demande également une circulaire interministérielle afin d’en finir avec les abus des collectivités territoriales et de l’Éducation nationale en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail.

3- Offrir la possibilité aux ATSEM qui le souhaitent de suivre une formation professionnelle et d’accéder à un cadre d’emploi en catégorie B. La CGT a demandé un avancement des ATSEM en catégorie B par la voie d’un concours interne allégé.

 

La CGT réaffirme la nécessité d’une évolution rapide des conditions de travail et la nécessité d’une reconnaissance tant professionnelle que financière des ATSEM pour la prochaine rentrée scolaire ainsi que la mise en œuvre par le gouvernement des 33 propositions adoptées à l’unanimité par le CSFPT du 2 février 2017 (cf. rapport).

Suite à la présentation du rapport à la ministre, une lettre de mission du 14 mars 2017 a mandaté l’IGA (Inspection Générale de l’Administration) et l’IGEN (Inspection Générale de l’Éducation Nationale) afin de revoir et de préciser les missions des ATSEM. Dans le cadre de cette mission qui doit s’achever le 30 juin 2017, l’IGA et l’IGEN auditionneront les acteurs sociaux et visiteront certains sites pour recueillir le témoignage des acteurs éducatifs qui rendent le service public de proximité.

L’IGA présentera ses travaux lors de la seconde réunion du groupe de travail « pour la reconnaissance des ATSEM » au cours de la deuxième quinzaine du mois de juin 2017.

Publié le  4 avril  2017


Les ASTEM se mobilisent pour la reconnaissance de leurs qualifications

et de meilleures conditions de travail, la colère grandit !  Rendez-vous le 7 mars !

Le 1er février des milliers d’ATSEM étaient en grève. La mobilisation s’élargit : FSU et SUD rejoignent l’intersyndicale CGT, FO, FA-FPT. Les ATSEM ne lâchent rien et revendiquent haut et fort une reconnaissance de leur cadre d’emploi, que ce soit en termes de niveau de rémunération, de déroulement de carrière, de niveau de pénibilité ; alors même que de nouvelles missions liées à l’évolution des rythmes scolaires sont venues créer une surcharge de travail conséquente pour des personnels déjà débordés !

La CGT exige :

• L’affectation d’une ATSEM par classe.

• La clarification des missions des ATSEM.

• La résolution du problème de double hiérarchie (Éducation nationale – Collectivité territoriale).

• Formation professionnelle tout au long de la carrière et le rétablissement à 1 % de la cotisation CNFPT.

• Un déroulement de carrière sur la catégorie B.

• La reconnaissance de la pénibilité : catégorie active pour tous.

• La reconstruction de carrière : lors des transpositions des accords JACOB, les ATSEM ont toutes vu leur ancienneté remise à zéro.

• Que les collectivités ne suppléent pas à l’Éducation nationale qui doit assurer son rôle (remplacement enseignant, AVS).

• La titularisation des précaires.

• La mobilisation des moyens financiers nécessaires au bon fonctionnement des collectivités territoriales.

• Le respect des principes statutaires en matière de formation et de pénibilité, à l’inverse de la logique portée par les projets de Compte personnel de formation et de Compte personnel d’activité.

• Le minimum Fonction publique à 1 800 € bruts mensuels, le rattrapage des pertes de pouvoir d’achat accumulées depuis 2000, le rétablissement de l’avancement d’échelon à la durée minimale, la revalorisation des grilles et la juste reconnaissance des qualifications, à l’opposé de ce qu’impose le protocole minoritaire PPCR dont nous demandons l’annulation.

Publié le  2O  février  2017

 

 

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Tract local

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Propositions de l'Intersyndicale

 

Contrairement à ce qu'il nous a été promis lors du rassemblement devant la Mairie aucune nouvelle proposition n'a été faite pour les agents avant le Comité Technique de la Ville.
L’intersyndicale CGT, FO et SUD a donc boycotté le Comité Technique du Vendredi 2 décembre. Le quorum n'étant pas atteint, le CT a été annulé.
L'administration a convoqué de nouveau le CT le mardi 6 décembre 2016. Selon le règlement intérieur même si le quorum n'est pas atteint, le CT a lieu.

L'intersyndicale a donc décidé de siéger. PDF - 592.4 ko Déclaration de l'intersyndicale

Lors du CT, quelques modifications, très à la marge en faveur de certaines catégories B et A mais rien pour la catégorie C, on été proposées par l’administration mais aucun effort réellement significatif ! L’intersyndicale a de ce fait, voter CONTRE ce dossier.
 

LE MARDI 29 NOVEMBRE 2016

300 agents territoriaux manifestaient devant la Mairie de La Roche-sur-Yon suite à l'appelle

de L'INTERSYNDICALE CGT, FO et SUD à se rassembler de 11h à 12h devant l'Hôtel de Ville.

PDF - 592.4 ko Revue de Presse et vidéo  sur YouTube

Pour une réelle revalorisation du nouveau Régime Indemnitaire (RIFSEEP) !

Pour une réelle équité entre les catégories (A-B-C), les filières et les fonctions !

LES PROPOSITIONS NE SONT PAS A LA HAUTEUR DE NOS ATTENTES POUR LA CGT, FO et SUD.

 

 

Le jeudi 24 novembre, les syndicats CGT de Territoriaux, FO et SUD ont organisé sur la journée des réunions d'informations syndicales vers l'ensemble du personnel de la Ville-CCAS et de l'Agglomération sur le nouveau Régime Indemnitaire le RIFSEEP (Régime Indemnitaire tenant compte des Fonctions, de la Sujétion, de l’Expertise et de l’Engagement Professionnel). Plus de 10% des agents ce sont déplacés à cette information sur la présentation des négociations entre l'administration et l'intersyndicale. L'ensemble des agents présents a validé le rassemblement devant la Mairie , le 29 novembre, jugeant un manque de revalorisation et d'équité.

LE MARDI 29 NOVEMBRE 2016,  11h devant l'HÔTEL DE VILLE LA ROCHE-SUR-YON

Publié le  8 décembre  2016

 
ugict-cgt Pour le droit à la déconnexion

 

Publié le  24 octobre 2016

 

 L’Action Sociale à La Roche-sur-Yon, COSeL ou CNAS ?

Le verdict est tombé, ce sera COSeL et CNAS.

Lire le document Pdf

 

Publié le  11 octobre 2016

Mort à petit feu du COSeL ou Non ?

L’action sociale à la Ville de La Roche-sur-Yon se fait par l’intermédiaire du Comité des Oeuvres Sociales et Loisirs (COSeL) depuis 1983, avec deux missions affichées : permettre aux agents de bénéficier d’une action sociale aussi large que possible et organiser les actions de convivialité.

Aujourd’hui, la Ville/Agglo soutenue par les syndicats FO et Sud s’oriente vers une nouvelle forme d’action sociale en voulant s’affilier au Comité National d'Action Sociale (CNAS) au vu des avis émis par les agents. 1943 agents pouvaient donner leur avis, mais seulement 689 l'on fait soit 35% :

 8 % pour le maintien du COSeL, 12 % pour une adhésion au CNAS/FDAS ,16 % pour le maintien du COSeL et une adhésion au CNAS et les 65% qui restent qu'en pensent-ils ?

La CGT est pour une action sociale qui convient à l’ensemble du personnel. Mais elle doit se faire avec une subvention à la hauteur des attentes du personnel pour que tous puissent bénéficier des prestations qui les intéressent. Notons que pour la CGT, une structure locale, transparente et représentative de l'ensemble des collègues est indispensable pour fédérer le personnel.  L'action sociale est essentielle à la vie quotidienne de tous les agents quelque soit leur statut, leur grade ou leur fonction.

Publié le  20 juin 2016

 

 

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Tract National

Article Ouest France 20 sept. 2016

Vidéo

LE LUNDI 19 SEPTEMBRE 2016  - APPEL A LA GRÈVE NATIONALE

Assouplissement des taux d'encadrement des accueils périscolaires la coupe est pleine !

NON !  A LA CASSE DES CONDITIONS DE TRAVAIL.

OUI !  A UNE QUALITÉ PÉDAGOGIQUE ET ÉDUCATIVE.

En effet, si pour ces trois dernières années, les taux d'encadrement avaient été augmentés à titre provisoire, ils le sont désormais définitivement suite au décret du 2 août 2016. Cette dégradation pérenne n'est pas acceptable car elle met en péril la sécurité des enfants et renforce les souffrances psychologiques des animateurs (trices).

Ce métier, déjà difficile de part l'amplitude horaire et l'exigence de cette fonction, reste et demeure qui plus est un métier précaire. Ce ne sera à nouveau qu'un affaiblissement de la qualité de service public envers les familles yonnaises.

Pour le local, avec la décision surprenante de la DASEN de ne pas valider les rythmes scolaires en fin d'année scolaire dernière, cette mesure s'ajoute à des APE déjà désorganisés. Au final, ce sont bien les animateurs et ATSEM sur qui se reportera la pression de l'exigence de résultat.

Aussi, les deux structures syndicales nommées ci-dessus partage le revendicatif nationale et demande la titularisation de tous les animateurs œuvrant à La Roche-sur-Yon le retour à un taux d'encadrement acceptable, un réel déroulement de carrière des ATSEM et à la reconnaissance en catégorie B des directeurs de site, responsable de site pour notre municipalité et appelle l'ensemble de ces acteurs public à se réunir

19 SEPTEMBRE 2016, 14h devant l'HÔTEL DE VILLE LA ROCHE-SUR-YON

Publié le  16 septembre 2016

 

Projets de décrets portant sur les agents de maîtrise :

Le saupoudrage indiciaire ne remplacera pas le reclassement en catégorie B (tract + pétition)

L’accord minoritaire parcours professionnel carrière et rémunération que la CGT a refusé de signer promettait une amélioration du pouvoir d’achat des agents de maîtrise. Maintenant que les négociations ont commencé, force est de constater que le compte n’y est pas !

Les projets de décrets portant sur les agents de maîtrise ne répondent pas aux légitimes attentes des agents et ne correspondent pas aux enjeux de service public.

La maîtrise repose sur une technicité acquise et une fonction d’encadrement dans trois filières du versant territorial : la filière technique (agent de maîtrise), la filière sapeurs-pompiers professionnels (sous-officiers de SPP) et la filière police municipale (chef de police municipale et brigadier-chef principal). La technicité acquise permet d’exercer les fonctions d’encadrement dans de meilleures conditions et devrait légitimement être reconnue par une intégration en catégorie B.

Cependant, sous couvert d’amélioration des grilles indiciaires pour les agents de maîtrise et agents de maîtrise principaux, le gouvernement refuse de valoriser ces cadres d’emplois en catégorie B. Tout comme les accords Jacob, PPCR ne fait pas illusion et la baisse des rémunérations de tous les fonctionnaires reste la règle !

Les agents relevant des échelles 5 et 6 seront bloqués pendant 5 ans. La carrière des agents de maîtrise sera allongée à 13 échelons ; les agents ayant atteint le 12ème échelon seront reclassés au 10ème et devront patienter au moins 6 ans pour obtenir une véritable revalorisation… La Fédération CGT des Services Publics note au passage que les gains d’indice annoncés ne compenseront pas tous la suppression de la GIPA.

La Fédération CGT des Services Publics réaffirme ses exigences de cohérence statutaire entre les qualifications et les missions des différentes catégories :

Catégorie C : exécution

Catégorie B : organisation et encadrement

Catégorie A : conception et expertise

La Fédération CGT des Services Publics et son UFICT réclament la suppression du cadre d’emplois des agents de maîtrise, leur reclassement dans le cadre d’emplois des techniciens et le recrutement des agents sur le grade de technicien au niveau bac.

Publié le  26 juillet 2016

 

Barème des traitements au 1er juillet 2016 et Calculateur GIPA 2016

- consulter l'onglet "SALAIRES - Échelle des salaires"

Publié le  30 juin 2016

 

Manuel de survie au management

Vous pouvez utiliser ce manuel fiche par fiche, le lire d’un seul coup à la fin de la journée de travail, le lire au petit déjeuner ou à la pause déjeuner ou, mieux, en groupe avec vos collègues à côté de la machine à café, ou demander une lecture collective à votre prochaine réunion de cadres, ou le mettre à l’ordre du jour de votre prochaine réunion d’équipe, interpeller votre syndicat pour en parler... [lire la suite]

  Discrimination et répression syndicales

L’Union fédérale des Ingénieurs Cadres et Techniciens (UFICT) des Services Publics a décidé, fin 2014, de créer un groupe de travail chargé de réfléchir à la question des discriminations syndicales pouvant toucher certains de ses cadres militants syndicaux.

Rapidement, le groupe de travail a voulu ajouter à sa réflexion la notion de « répression syndicale ». [lire la suite]

Publié le  17 mai  2016

 

Dangerosité de la loi EL KHOMRI (Code du travail) 

Le Vrai/Faux qui démonte le Vrai/Faux du gouvernement sur la Loi Travail   [lire la suite]

La réforme du droit du travail avec le projet de loi « El Khomri » est au centre d’une intense bataille idéologique et médiatique. Cette réforme est d’une importance fondamentale pour ce qui est de la vie des salariés au travail.

En effet, ce projet de loi, dans son ensemble, fait reculer de manière très significative les droits des salariés.

Le Code du travail qu’il nous faut !  [lire la suite]

Publié le  1 mars 2016 

 

  Suppression des minima et maxima d’avancement d’échelon.

La possibilité de modulation de l’ancienneté pour l’avancement d’échelon prévue par la loi n° 84-53 est supprimée. La suppression se fera en deux temps.

À partir de la publication des statuts particuliers et au plus tard au 1er juillet 2016 :

- pour les cadres d’emplois de catégorie B,

- pour certains cadres d’emplois de catégorie A : puéricultrices cadres territoriaux de santé, cadres de santé infirmiers et techniciens paramédicaux, conseillers territoriaux socio-éducatifs, puéricultrices territoriales (cadre d’emplois en voie d’extinction), puéricultrices territoriales et infirmiers territoriaux en soins généraux.

Au 1er janvier 2017 :

- pour les autres cadres d’emplois de catégorie A,

- pour les cadres d’emplois de catégorie C.

En revanche, l’avancement d’échelon pourra faire l’objet d’un contingentement lié à la valeur professionnelle dans des conditions définies par un futur décret.

Loi n°2015-1785 du 29 décembre 2015 de finances pour 2016. JO du 30 décembre 2015.

Les conditions d’emploi des agents contractuels sont améliorées.

Le décret n°88-145 du 15 février 1988 relatif aux agents non titulaires de la FPT est modifié.

Parmi les nouvelles mesures, des critères sont fixés pour la rémunération des contractuels : les fonctions occupées, la qualification requise pour leur exercice, la qualification détenue par l’agent ainsi que son expérience. La rémunération est réévaluée a minima tous les trois ans au vu, notamment, des résultats de l’entretien professionnel ou de l’évolution des fonctions.

L’entretien professionnel annuel est étendu aux contractuels recrutés sur emplois permanents par CDD de plus d’un an. Il se déroule selon des règles identiques à celles qui s’appliquent aux agents titulaires.

Le texte précise également les conditions d’emploi (aptitude physique, jouissance des droits civiques, respect des obligations en matière de service national pour les personnes issues d’un pays étranger…), les règles d’embauche (mentions obligatoires au contrat écrit, période d’essai, certificat de travail, entretien préalable au renouvellement…)

Les conditions d’octroi ou de renouvellement de certains congés (de maladie ou familiaux) et du temps partiel sont alignées sur celles prévues pour les fonctionnaires.

Un congé spécifique sans rémunération est créé en vue de suivre un cycle préparatoire à un concours de la fonction publique ou une période de stage préalable à une titularisation.

>>> En savoir plus sur le statut des non titulaires dans la FPT.

Abattement sur tout ou partie des indemnités perçues (régime indemnitaire)

La loi de finances pour 2016 prévoit qu’un abattement sera impliqué sur les indemnités perçues par les fonctionnaires qui feront l’objet d’une revalorisation indiciaire visant à la modernisation des parcours professionnels, des carrières et des rémunérations et à l’avenir de la fonction publique.

Le montant annuel de cet abattement est le suivant :

- catégorie A : 389 €

- catégorie B : 278 €

- catégorie C : 167 €.

Un décret précisera la liste des indemnités non prises en compte pour le calcul de l’abattement ainsi que les modalités de mise en œuvre de celui-ci (art. 148 de la loi).

En contrepartie de cet abattement, les fonctionnaires devraient gagner des points d’indices majorés qui différeront selon la catégorie hiérarchique de l’agent.

Publié le  9 février 2016 

   

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Dossier Schéma de Mutualisation

 

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Organigramme

 

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La CGT vous informe

 

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CR du CT 4 déc.

Points sur les Comités Techniques du 26 nov. Agglo et du 4 déc. Ville

et plus particulièrement sur le Schéma de Mutualisation et de l'Organigramme qui en découle.

La CGT des Territoriaux c'est abstenue

(Mutualisation, SUD : Abstention - FO : Pour / Organigramme, Sud et FO : Pour)

Sur le Schéma de mutualisation

La CGT des Territoriaux comprend bien que la baisse des dotations de l’état a un impact sur les collectivités. Malgré tout la mutualisation ne doit pas être une variable d’ajustement, une économie sur le dos des salariés avec une baisse de la masse salariale et du pouvoir d’achats des agents.

La CGT vous questionne sur les objectifs de la mutualisation, sont-ils de faire des économies en favorisant l’externalisation des services, ou de faire un service public au rabais en supprimant X postes ou en ne remplaçant pas les départs en retraite ?

Pour la CGT, la mutualisation doit permettre d’intégrer tous les agents dans ce schéma de changement sans oublier de mettre en place un nivellement social par le haut car nous serons très attentifs au maintien des acquis sociaux.

Sur le Nouvel organigramme

A la présentation de cet organigramme avec les différents Pôles, la CGT n’a aucune visibilité à l’heure actuelle sur l’arborescence de l’ensemble des directions.

Cet organigramme n’étant pas abouti engendre des interrogations, des inquiétudes, de l’angoisse voir du stress auprès d’un bon nombre d’agent. Nous demandons un échéancier.

La CGT des Territoriaux réaffirme que tous les agents de nos 2 collectivités ont entièrement leur place dans cet organigramme toute catégorie confondue sans suppression de poste, sans mise à disposition auprès du centre de gestion.

Tout le monde doit trouver sa place dans le peloton vers la mutualisation.

 La CGT des Territoriaux n’acceptera aucun abandon sur le bord de la route auquel cas nous changerions de braquet.

Publié le  29 janvier 2016 

 

ATSEM - Analyse des questionnaires

Vif succès pour le questionnaire adressé aux ATSEM qui a recueilli 2000 réponses représentant plus de 60 départements. Le collectif fédéral a travaillé pour présenter une analyse des retours.   [lire la suite]

 

Publié le  8 décembre 2015 

 

Décret n° 2015-1386 du 30 octobre 2015

relatif à la nouvelle bonification indiciaire attribuée aux fonctionnaires de la fonction publique territoriale

au titre de la mise en œuvre de la politique de la ville, à la suite de la création des quartiers prioritaires de la politique de la ville

Ce décret vise à mettre à jour les conditions d’attribution de la NBI que l’on appelle communément "quartier difficile"

la référence aux "zones urbaines sensibles" est modifiée par " quartiers prioritaires de la ville" conformément à la l’article 5 de la loi 2014-173 du 21 février 2014

Il est à noter que la carte de ces quartiers a été modifiée ce qui amène une perte de cette NBI pour certains agents. Une disposition transitoire est mise en place pour que ces agents la perçoivent temporairement.

le texte entre en vigueur le 1er janvier 2015 et donc une rétroactivité de cette prime au 1er janvier peut et doit être demandé si ce n’est pas appliqué.

Publié le  5 novembre 2015 

 

Pétition : "Augmenter les salaires, les minima sociaux, les pensions, c’est urgent, nécessaire et juste" Signez la pétition en ligne ici

Publié le 09 octobre 2015

 

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Éléments d’analyse pour la FPT de l’accord (4 pages)

 

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Note de présentation CGT PPCR

 

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Accord PPCR  + annexes

22 juillet 2015

PARCOURS PROFESSIONNELS, CARRIERES ET RÉMUNÉRATIONS

Le 9 juillet, la ministre de la Fonction publique, Marylise Lebranchu, a présenté aux organisations syndicales le projet de protocole d’accord sur les parcours professionnels, les carrières et les rémunérations dans sa version n°3 arrivée le 8 juillet.

L’objectif de cette réunion était de recueillir les dernières observations des syndicats avant l’envoi de la version stabilisée du texte. Le texte est organisé en deux axes... [lire la suite]

Consultation sur le Protocole

Nous souhaitons attirer votre attention sur, d’une part, les questions très importantes liées à ce protocole d’accord et, d’autre part, l’enjeu essentiel de la consultation des personnels pour la CGT.

En effet, il ne s’agit pas simplement d’arrêter des positions de directions syndicales, mais bel et bien de prendre l’avis du maximum d’agents de la Fonction publique, syndiqués ou pas.

Éléments d’analyse de la CGT pour la Fonction publique territoriale de l’accord soumis à la signature des organisations syndicales

La négociation PPCR aurait dû être l’occasion, comme l’a réclamé la CGT, d’une refonte totale et ambitieuse des grilles indiciaires et des déroulements de carrière. L’augmentation de la valeur du point d’indice aurait permis de répondre à l’exigence et à l’urgence d’une augmentation des traitements dans la Fonction publique.

Au lieu de cela, le gouvernement propose des mesures qui sont loin de faire le compte, au regard des pertes occasionnées en particulier par le gel de la valeur du point d’indice.

La Fédération CGT des Services publics appelle les agents territoriaux

- à s’emparer de ce projet et à se prononcer sur leur souhait, qu’il soit ou non signé.

- à se mobiliser massivement le 8 octobre dans le cadre de la journée nationale d’action unitaire interprofessionnelle.

Publié le 14 septembre 2015

 

Questionnaire

Mon travail, c'est ma santé ?

Évaluez votre environnement de travail

En 2 minutes, et en toute confidentialité, nous vous invitons à décrypter  vos risques au travail et découvrir les moyens de limiter l'exposition à ces risques, ainsi que les alternatives proposées par l'Ugict-CGT.

Publié le  05 août 2015

 

 Évolution du pouvoir d’achat du point d’indice net majoré (INM)

depuis le 1er janvier 2000

La CGT Fonction publique vous transmet la perte de pouvoir d’achat pour le mois de juin 2015, complétée d’un comparatif en euro des pertes en fin de grade pour les grilles types de C, B, A et A+.

Trois recto verso : [lire la suite]

- un premier recto verso des pertes du point d’indice par rapport à l’inflation depuis le 1er janvier 2000 ;

- un deuxième recto verso des pertes du point d’indice par rapport à l’inflation depuis le gel du point d’indice au 1er juillet 2010 ;

- un troisième recto verso des pertes dues à l’augmentation de la cotisation retraite depuis le 1er janvier 2011, avec un tableau récapitulatif des augmentations jusqu’en 2020.

Publié le  05 août 2015 

 

 

Article

OF 17 juin 2015

 

  Résultats, élections COSeL

La CGT - 222 voix - 10 sièges

 La CFDT - 218 - 5 sièges

Bulletins nuls : 133

Publié le  15 juin 2015

 

  Pétitions - Pour développer les modes d’accueil de qualité,

c’est maintenant qu’on signe avec "Pas de bébé à la consigne" ! [Lire la suite]

Publié le  28 mai 2015

 

Lettre ouverte unitaire au Président de la République

Monsieur le Président, De manière exceptionnelle, les organisations syndicales de la Fonction Publique (CGT – FSU – FO – SOLIDAIRES - FAFP) ont décidé unitairement de s’adresser à vous. La situation des agents, les missions essentielles qu’ils mènent (...) [lire la suite]

Publié le  28 mai 2015

 

  Le numérique et votre travail (tract et consultation) - Encadrer les TIC pour en maîtriser l’usage

La CGT des Ingénieurs, Cadres, et Techniciens vous invite à répondre à la consultation.[Lire la suite]Infographies élections Fonction publique

Les infographies « Opinions et attentes des Cadres et Techniciens dans la Fonction publique » .[Lire la suite]

Publié le 27 août 2014 

 

  La CGT s'adresse aux ingénieurs, cadres, techniciens et agents de maîtrise.
Pourquoi un tel malaise chez les cadres de la Fonction publique territoriale?

Un phénomène généralisé la difficulté croissante pour les cadres des collectivités locales à faire bien et sereinement leur travail. Et cette évolution se constate partout, dans pratiquement toutes les collectivités.

Les cadres connaissent désormais la perte de repères, de sens, jusqu'au mal-être ou à la souffrance au travail. Alors que les nouvelles technologies sont censées alléger les peines physiques et que la durée légale du travail est que de trente-cinq heures, voilà qu'apparaît une image lugubre de l'activité professionnelle, associée à la mort ou à la privation de vie : il faut avoir les nerfs solides pour continuer à aimer son travail dans cet univers. Les gratifications se font rares et les injonctions de plus en plus paradoxales.... [Lire la suite]

Publié le 27 juin 2014

 

Nouveauté s’agissant des cotisations syndicales

pour la déclaration d’impôts sur le revenu 2013

Toute cotisation versée à une organisation syndicale représentative ouvre droit à un crédit d’impôts, qui se substitue à la réduction d’impôts appliquée jusqu’en 2011, et selon les mêmes règles, égal à 66 % du montant des cotisations payées en 2013 et dans la limite de 1 % du revenu brut après déduction des cotisations sociales (Sécurité sociale, retraites complémentaires et autres cotisations obligatoires, Assedic, contribution de solidarité des fonctionnaires).

Il n’y a plus besoin de joindre le reçu syndical à la déclaration d’impôt, mais celui-ci pourra être demandé ultérieurement.

Il faut donc le conserver 3 ans

Publié le 23 avril  2014

 

Tous avec les Fagor Brandt

Clin d'oeil sur l'action du samedi 4 avril 2014

Clin d'oeil sur l'action du samedi 8 mars 2014

Publié le 9 avril  2014

 

49ème Congrès CGT de l'Union Départementale de Vendée

26, 27 et 28 mars 2014

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Publié le 2 avril 2014

 

Lutte contre le harcèlement dans la Fonction publique

Une circulaire ministérielle du 4 mars 2014 vient de paraître contre le harcèlement. A lire attentivement .....

Extraits :

"Le harcèlement moral :

La loi du 6 août 2012 ne modifie pas la définition du harcèlement moral, défini de la même façon dans le code du travail (article L. 1152-1), dans le code pénal (article 222-33-2) et dans le statut général (article 6 quinquies de la loi n°83-634 du 13 juillet 1983) . Pour mémoire, cette notion a été introduite en tant que telle dans le statut général des fonctionnaires par la loi n° 2002-73 du 17 janvier 2002 de modernisation sociale qui en fait également un délit pénal et qui condamne les agissements répétés de harcèlement moral qui ont pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail, susceptible de porter atteinte aux droits, à la dignité, à la santé physique ou mentale de l'agent ou de compromettre son avenir professionnel. La loi du 6 août 2012 renforce la sanction du harcèlement moral en alourdissant les peines encourues pour harcèlement moral (cf. article 222-33-2 du code pénal) : elles ont été portées de un à deux ans d'emprisonnement et de 15OOO € à 30000 € d'amende......

Publié le 20 mars 2014

 

La réforme des rythmes met les animateurs en danger…

Publié le 27 février 2014

  Baisse des salaires des agents territoriaux : l’INSEE confirme !

 

Publié le 26 février 2014

 

  Gel de l’avancement des fonctionnaires !!!

 Le 1er ministre répond au Secrétaire Général des Fédérations de Fonctionnaires CGT

Publié le 21 février 2014

 

  Le burn out menace plus de 3 millions d’actifs

Selon une étude publiée mercredi 22 janvier par le cabinet Technologia, plus de 3 millions d'actifs

ont un risque élevé de faire un «burn-out».

Publié le 30 janvier 2014 - lire l'article...

 

  Modification des grilles de la catégorie C 

le 1er février 2014 : de l’urgence à l’indécence.

Comme vous le savez, durant l’année 2013, des négociations « mesures d’urgence catégorie C » ont eu lieu.

Devant le rejet des propositions du gouvernement de l’ensemble des organisations syndicales, la DGAFP (Direction Générale de l'Administration et de la Fonction Publique) a décidé d’opter pour un « saupoudrage de points et l’abaissement des conditions de l’ancienneté ».

Cette option prise unilatéralement est devenue « projets de décrets » qui sont passés au CSFPT (Conseil Supérieur de la Fonction Publique Territoriale) le 23 octobre 2013 avec un vote défavorable de l’ensemble des organisations syndicales et une abstention des élus.

Plusieurs amendements ont été proposés pour corriger l’inégalité d’abaissement entre la durée d’échelon maxi et le mini. Lors du CSFPT du 23 octobre, ces amendements ont été rejetés mais ils ont finalement été entendus par la ministre elle-même qui a décidé de modifier les durées d’avancements mini permettant un déroulement de carrière s’étalant non plus en 22 ans mais en 18,5 ans.

Les décrets auront une date d’effet au 1er février 2013 afin que la GIPA (Garantie Individuelle du Pouvoir d'Achat) ne soit pas affectée.

Les experts du statut savent que la réalité de ce décalage d’un mois n’est pas réellement liée à la GIPA mais correspond au délai nécessaire pour la promulgation des textes après passage en CCEN (Commission Consultative d’Évaluation des Normes).Sauf coup de théâtre, il n’y aura plus d’autres modifications.

Seule la revalorisation de la valeur du point d’indice permettra de garantir et d’améliorer le pouvoir d’achat des agents de la Fonction publique !

Publié le 22 janvier 2014

 

  14 JANVIER 2014 – Communiqué de la Fédération CGT des Services publics

Plus de 80 000 adhérents à la Fédération des Services publics

La Fédération salue ce résultat comme le fruit du travail de ses syndicats, de ses militant-e-s et des structures interprofessionnelles de la CGT. Avec 80306 adhérents, la Fédération a réalisé l’objectif fixé par son 10ème congrès d’Ajaccio en mai 2011 (la Fédération comptait alors 71 475 adhérents).

En cinq ans, la progression du nombre d’adhérents s’élève à plus de 15 000. En dix ans, cette progression représente plus de 20 000 syndiqués supplémentaires.

Ce développement de la syndicalisation CGT concerne l’ensemble du champ fédéral et tous les types de collectivités. Pour environ la moitié, ce renforcement s’opère dans les conseils généraux et régionaux, en proportion importante grâce à la dynamique créée par l’apport de syndiqués CGT des secteurs transférés de l’État vers les collectivités.

Ces chiffres de syndicalisation sont un formidable encouragement dans le cadre de la campagne des élections professionnelles de 2014 dans la Fonction publique.

Alors que la Fonction publique, notamment dans son versant territorial, est au cœur de l’offensive patronale et gouvernementale, la CGT est reconnue par les agents et salariés de notre champ comme une force pour rassembler, un outil efficace pour gagner sur les revendications, pour défendre et développer les services publics, et les droits et garanties des personnels.

C’est pourquoi nous sommes déterminés à poursuivre les efforts de syndicalisation pour que la CGT soit toujours plus et mieux le syndicat proche, efficace et solidaire qui permet de construire les luttes gagnantes et de porter l’exigence du changement. 

Publié le 15 janvier 2014

 

Depuis le 1er janvier 2014, le jour de carence dans la Fonction publique est abrogé

De nombreuses luttes ont été menées localement contre le jour de carence,

certaines permettant sa non application.

Publié le 1er  janvier 2014

Journée de carence

L’article du projet de loi de finances abrogeant le jour de carence a été voté mardi 12 novembre 2014.

L’assemblée nationale a voté, mardi 12 novembre, l’article du projet de loi de finances 2014 abrogeant le jour de carence pour les agents de la fonction publique. C’est une nouvelle étape importante vers la suppression de cette mesure au 1er janvier 2014.

Interventions de La CGT des Territoriaux auprès de M. le Maire/Président

Le 19 janvier 2012 par courrier

Réponse par L'intranet le 3 février 2012

Journée de carence : le Maire/Président décide de maintenir le salaire des agents en cas d’arrêts maladie.

LETTRE OUVERTE, le 5 mars 2013

Changement de direction, mise en  application de la journée de carence à partir du 1er octobre 2012.

LETTRE OUVERTE, le 20 août 2013

A ce jour aucune réponse ....

La crise a bon dos, elle exige de la part des salariés tous les sacrifices et voilà que parmi les efforts «nécessaires» pour sauvegarder notre modèle social, un jour de carence en cas d’arrêt maladie est imposé sans aucune concertation. Le délai de carence c’est le laps de temps, au début de l’arrêt maladie, durant lequel le salaire de l’agent n’est pas maintenu. Sous prétexte que les salariés du privé subissent actuellement un délai de carence de 3 jours, la fonction publique et les régimes spéciaux devraient également se voir appliquer une journée de retenue. Mais dans les faits, 75% des salariés du privé soumis aux 3 jours de carence bénéficient d’une convention collective qui prévoit que l’employeur compense la perte de salaire. Le système est donc déjà à plusieurs vitesses pour les salariés et les mieux lotis ne sont pas toujours ceux que l’on stigmatise habituellement. En effet, pour les salariés du privé couverts par une convention collective cette disposition n’aura aucun impact. Seuls les fonctionnaires et les salariés « mal couverts » relevant d’un régime spécial seront touchés par cette baisse de salaire en cas d’arrêt de maladie.

 

LES SALAIRES

Communiqué UGICT : tassement des salaires des cadres

Le 26 novembre, l’UCICT-CGT fait 4 propositions pour mettre fin au tassement des salaires des cadres.

 

Catégorie C, mesures gouvernementales sur la catégorie C : de l’urgence à l’indécence

4 pages - Cette note vous permet de comprendre les évolutions dans la négociation et les raisons qui ont amené les changements dans la grille catégorie C.

Comme vous le savez, durant l’année 2013, des négociations « mesures d’urgence catégorie C » ont eu lieu. Devant le rejet des propositions du gouvernement de l’ensemble des organisations syndicales, la DGAFP a décidé d’opter pour un « saupoudrage de points et l’abaissement des conditions de l’ancienneté ».

Cette option prise unilatéralement est devenue « projets de décrets » qui sont passés au CSFPT le 23 octobre 2013 avec un vote défavorable de l’ensemble des organisations syndicales et une abstention des élus.

Plusieurs amendements ont été proposés pour corriger l’inégalité d’abaissement entre la durée d’échelon maxi et le mini.

Lors du CSFPT du 23 octobre, ces amendements ont été rejetés mais ils ont finalement été entendus par la ministre elle-même qui a décidé de modifier les durées d’avancements mini permettant un déroulement de carrière s’étalant non plus en 22 ans mais en 18,5 ans.

Les décrets auront une date d’effet au 1er février 2013 afin que la GIPA ne soit pas affectée.

 

 

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